1. Mes secrets de famille (3)


    Datte: 10/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: 0.livia, Source: Xstory

    ... s’agrippant à mes obus. Continue ! continue ! je vais... je vais me vider !
    
    Je contractai mon périnée pour englober parfaitement la tête de sa lance, tout en faisant des va-et-vient rapides juste entre le sommet et la base de son gland.
    
    — Cris mon nom Jacques, tu vas me faire jouir, l’encourageais-je. Dis-le pour me faire jouir !
    
    — Mmm... MMM, hésita-t-il. Olivia, ah, Olivia...
    
    J’accélérai le rythme en couinant : jouis en moi en criant son nom... Lâche-toi, Jacques !
    
    Je sentais qu’il allait bientôt cracher sa semence.
    
    Il me bascula brusquement sur le lit, me mettant à quatre pattes sans difficulté, malgré mon ventre de femme bien engrossée.
    
    — M... Ma... Maria ! prends ça dans ta chatte Maria ! cria-t-il en me tirant les cheveux et me pilonnant violemment.
    
    Jacques s’acharna sur moi tel jeune un puceau. Il avait retrouvé sa vigueur d’antan. La queue me bourrait ma fente étroite avec une force prodigieuse et un rythme effréné. Je couinais de plaisir en m’agrippant fermement aux draps pour ne pas me cogner sur la tête de lit à chaque assaut.
    
    — Tu vas me faire jouir Jacques, m’écriais-je. Je vais jouir, je vais jouir... hummmm !
    
    — Ah, Ah ! Maria ! jouit-il en me foutant mon con de semence.
    
    Son foutre et sa vigueur eurent raison de moi. Je jouis en même temps dans un long râle de plaisir, en lui crachant un jet de mouille sur son entrejambe.
    
    Son sperme continua de se déverser lentement, tandis qu’il ralentissait la cadence en s’affalant sur ...
    ... moi.
    
    — Humm, je t’aime Maria... je t’ai... j’ai toujours été amoureux de ta mère, avoua-t-il en s’immobilisant bien au fond de moi.
    
    A ce moment-là, je fus pris de stupeur, en essayant de me dégager :
    
    — Maria ? C’est bien de maman que tu parles ? lançais-je interloquée. Mais...
    
    Il me fit taire en m’embrassant à pleine langue. Après un bref instant de tendresse, il m’embrassa ensuite l’épaule, le dos, les fesses, puis l’anus.
    
    — Toi et ta mère, vous avez de ces fesses magnifiques : bien en chair comme je les aime ! Je pourrais vous bouffer le cul même s’il était plein de merde, me dit-il avant de plonger sa langue dans ma rondelle.
    
    Sonnée par mon énorme orgasme et par ces révélations, je le laissais faire. Il faut dire aussi qu’il savait très bien s’y prendre avec sa langue. Il continua jusqu’à ce que ma raie soit dégoulinante de salive.
    
    — Je vais te démolir le cul M... Olivia, lâcha-t-il avec un sourire pervers.
    
    — Appelle-moi comme tu veux, Jacques, si ça te permet de me baiser comme tu l’as fait tout à l’heure, je veux bien que tu penses à ma maman quand...
    
    Il ne me laissa pas terminer. Il me reprit en levrette, s’acharnant sur ma rondelle, tout en répétant le nom de ma mère.
    
    Jamais un homme n’avait fait l’amour à mon cul avec tant de passion, en mêlant violence et amour. Il libéra toute sa frustration causée par toutes ces années de secret et de non-dit. Il me bourra avec fureur les intestins, tout en me doigtant mon abricot. Il voulait de tout son ...