1. La rechute


    Datte: 09/03/2021, Catégories: f, fh, inconnu, uniforme, nympho, Collègues / Travail toilettes, collection, Masturbation facial, Oral fgode, pénétratio, fdanus, québec, Auteur: Kelly-Ann, Source: Revebebe

    ... dans mon esprit. Par contre, je ne pouvais pas lui dire non, car elle me demanderait pourquoi et là, je lui dirais la vérité, et elle rirait de moi jusqu’à la fin de mes jours. Je tentais de me convaincre en me disant que les militaires qui viendraient me voir seraient plus âgés et moins mon type. Elle me donna rendez-vous dès le lendemain matin.
    
    Toute la soirée, je fis les cent pas à me demander ce que j’allais faire si seulement un mec désirable rentrait dans mon bureau. Cela faisait un gros deux semaines que je n’avais pas eu de sexe, et je ne m’étais pas masturbée non plus. Je me suis dit que tant qu’à faire quelque chose, aussi bien le faire jusqu’au bout. Je passai une nuit d’enfer à faire des rêves érotiques, passant par des militaires, puis des policiers, sans oublier les pompiers. Le lendemain matin, j’en avais la petite culotte trempée, je me sentais faible. Je sautai sous la douche en essayant de chasser mes pensées obscènes, mais rien n’y faisait. Juste le fait de me passer le savon sur le corps était suffisant à sonner les sirènes ! Il était clair que je ne pouvais pas me présenter dans cet état, dans un milieu masculin, respirant le sexe à plein nez !
    
    Je pris un petit déjeuner en vitesse, car j’étais déjà en retard. Retard volontaire… j’espérais arriver là-bas et que tout le monde soit à son boulot, comme ça je pourrais passer en douce, sans croiser de militaires ! J’arrivai à l’entrée de la base, j’expliquai au mec qui gardait la « gate » que je devais ...
    ... rejoindre Sophie Bérubé dans l’édifice du Royal 22e Régiment. Il me laissa passer. J’arrivai dans le stationnement. Je stationnai ma Ford Focus à côté d’une Sentra noire, vitres teintées, un peu remontées. Juste le fait de la regarder, je sentais une odeur masculine non loin… Je m’appuyai sur mon volant quelques secondes pour penser à autre chose…
    
    TOC TOC…
    
    — Ahhh !
    
    Je sursautai et eus peur de lever la tête pour voir un mec irrésistible. C’était Sophie. Je baissai ma vitre.
    
    — Qu’est-ce que tu fous ? Je t’attends depuis quinze minutes !
    — Désolé, c’est juste que j’ai mal dormi.
    — Allez… tu vas voir, avec tous les mecs qu’il y a là, tu ne pourras pas t’endormir !
    
    C’est ce qui m’inquiétait ! Je sortis de la voiture et on se rendit en direction de la porte. Durant ces quelques pas, je dus croiser au moins trois beaux hommes avec des bérets verts… je faillis perdre l’équilibre, en fait, le peu que j’avais sur mes bottes à talons aiguilles. On entra dans l’édifice… Moi qui pensais ne croiser aucun homme, ou du moins pendant une partie de la journée… mais comment ai-je pu imaginer cela ? C’est une fourmilière à mecs, ici ! Je suivis Sophie en fixant le plancher jusqu’à ce qu’on arrive dans le bureau. En entrant, je faillis perdre connaissance.
    
    — Mais c’est quoi ça ?
    — Ben ton bureau, ma belle ! dit-elle.
    — Hahaha… tu me niaises ? ajoutais-je en voyant que mon bureau était carrément au beau milieu d’autres bureaux, avec derrière ceux-ci, des tas de militaires !
    — ...
«1234...7»