1. "Le piège" (3)


    Datte: 08/03/2021, Catégories: Hétéro Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    Paul était aux anges ce matin-là. Et son copain Ruiz comprit tout de suite la raison de sa joie :
    
    " Alors elle te plaît Simone ?
    
    — Pfouh ! Mon pote, c’est de la bombe !
    
    — Je te l’avais bien dit !"
    
    Et Paul raconta toute l’histoire à son "ami" Ruiz.
    
    Simone s’était libérée de sa robe, qu’elle avait laissée choir sur la plage de fin gravier. Paul la voyait donc nue pour la première fois, et il devait s’avouer que Ruiz ne s’était pas foutu de lui ; elle était vraiment bien gaulée pour ses 40 ans et quelques. Même si Paul était caché derrière son tas de sable, à environ 40 mètres de la scène, grâce à la clarté lunaire, il apercevait bien le corps somptueux de la "sylphide". Des cuisses musclées, qui semblaient bien bronzées, une petite chatte taillée en triangle de poils bruns, un ventre bien fait, et une superbe paire de seins, tels que Paul les aimait: 90 B à première vue, un galbe en forme de poire, et surtout, de toutes petites aréoles pas trop foncées, et de petits tétons, qui pointaient sous l’action de la caresse du vent chaud de cette nuit d’été.
    
    Jusque-là tout était au top ; Paul se demanda ce qu’allait faire la femme qui semblait en manque de sexe ?
    
    Elle s’approcha de l’eau, et y entra doucement, puis nagea quelques brasses. Revenant sur le rivage, elle se coucha au bord du lac, alors qu’un petit vent, qui s’était un peu accentué faisait s’ourler la surface de l’eau en de petites vagues. Dans 10 centimètres d’eau, allongée, les cuisses bien écartées, ...
    ... Simone commença par se caresser les seins, puis l’une de ses mains s’empara de son entrejambe. Alors Paul comprit, au vu du mouvement du poignet, que la femme se masturbait... après trois minutes de mouvements, elle jouit assez bruyamment, laissant éclater comme un cri guttural, accompagné de râles.
    
    Ayant repris son souffle, elle se releva et suivit la lisière du petit lac, sur une cinquantaine de mètres, jusqu’à une espèce d’excavatrice à moitié rouillée. En marchant elle reprit sa litanie lubrique :- Putain, j’ai envie d’une queue, bien dure ! Un mec, voire plusieurs ! J’ai envie de me faire BAISER ! Mon Dieu, j’ai la chatte en feu !
    
    Paul, qui avait lui même sa main dans son short, et qui se masturbait calmement, eut toutes les peines du monde à ne pas montrer sa présence, à aborder la femme et lui proposer fort civilement, et de façon chevaleresque d’accéder à tous ses désirs... mais il se retint. Après tout, il ne savait pas comment la femme réagirait. Il préférait regarder, se soulager, et en parler à Ruiz le lendemain, pour qu’il lui arrange le coup. Alors, avec cet entremetteur, il se dit que les choses seraient plus simples. Un petit mot, et Paul se retrouverait peut-être dès le lendemain à poil, en bas, en train de sauter la nymphomane !
    
    Ayant atteint la vieille machine rouillée, Simone escalada des escaliers métalliques branlants, pour accéder à une plate-forme avec des leviers de commande, à l’extrémité terminée par une grosse boule de plastique, comme les ...
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