La brune de l'hôtel - Histoires de Sexe

La brune de l'hôtel

... raison de vous donner du plaisir et vous m’en avez donné beaucoup.
— Mais cela fait longtemps que vous vous trouvez là ?
— Je suis là depuis que vous avez rentré cette fausse bite dans votre jolie chatte,
— Mais…
— Allons, vos bas accrochés à de belles jarretelles noires, vos escarpins si hauts si fins, votre culotte en dentelle et trouée sur votre fente…
— Je suis…
— Chut ne dites rien, vous aimez le sexe, les fantasmes et vous m’avez fait bander comme je n’ai jamais bandé.
— Je ne savais pas que vous étiez là.
— Vous étiez si belle, vos gros seins, votre bouche… Nous allons finir cela doucement ensemble. Votre sexe est brûlant je pense qu’il va aimer une vraie queue pour le limer.

Il m’a massé les seins, je sentais son désir, je l’avais rendu fou, il avait envie de vider ses bourses.

Il dégagea sa queue superbe.

— Gobe-moi le gland, oui, glisse ta langue, lape, oh oui, tu es bonne, tu suces à faire exploser n’importe quel homme. Oui, prends-la en bouche, n’aspire pas trop, tu vas faire monter le jus et ton abricot a besoin de me sentir.

Ses mots me rendaient folle, il le sentait, ma langue lui lapait les couilles et j’avalai sa bite en bavant. Tout mon sexe réclamait sa queue.

— Tu veux ma grosse queue ?
— Oui, prends-moi, lime-moi.
— Tu veux quoi, superbe coquine ?
— Je veux ta queue, je n’en peux plus, fourre-la-moi.

Il me retourna, me pencha sur le bureau écarta de ses deux mains mon petit cul et rentra doucement dans mon sexe brûlant.

— ...

... Tu es serrée et si chaude, je vais aller buter mon gland au fond de ta chatte.

Ses deux mains sur mes seins écrasant mes bouts, j’avais tout, une belle queue, grosse et dure, un homme qui accélérait au comble du plaisir.

— Tu me baises si bien, j’avais tant envie de ça, de ta queue, de sexe. Deux jours sans sexe et je deviens lubrique
— Tu aimes le sexe et une fille si belle ne doit pas se branler seule surtout quand elle fait autant bander les hommes. Jolie Darling, je sens le sperme monter, j’ai failli déjà tout à l’heure, en te regardant prendre autant de plaisir avec ton gros gode, sortir ma queue de mon costume et me branler doucement dans ma main en te regardant. Déjà ma queue gonflée réclamait un frottement. J’ai eu ta bouche, tu suces comme une femme qui aime ça. En frottant tes seins sur la bite, c’est très excitant pour un homme, tu sais, et maintenant je te prends, je vois ton cul avec tes bas noirs, tu dois faire se masturber tous les gars de cet hôtel, du livreur aux hommes d’affaires comme moi.
— Oui j’aime qu’ils s’astiquent en pensant à moi. Je m’arrange toujours pour qu’ils aperçoivent un bas en sortant de voiture, un triangle de soie en décroisant les jambes en face d’eux ou qu’ils ne retiennent plus leur érection en voyant un téton pointer sous la transparence de mon chemisier. J’ai besoin de sexe au moins tous les jours, j’aime être celle que l’on rêve de baiser parce que l’on sait intérieurement qu’elle est capable de tous les jours te surprendre ...