COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (12/13)
Datte: 08/03/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... un petit coup de queue avant que tu ne rentres sagement chez toi.
Un coup de queue, que ceux qui ont fait dans une 4L à vingt ans se rendent compte de l’exiguïté de l’endroit.
Le siège est fixe et c’est dans un grand éclat de rire que nous renonçons à aller plus loin.
Joël est tenace, il me veut autant que je le veux.
- Sortons, nous sommes protégés par ces trois camions, regarde leurs rideaux sont tirés.
Il arrive à sortir en passant sur le siège arrière, je n’ai pas mis de culotte comme ma garce de copine m’en a donné l’habitude.
Une fois à mon tour sortie, je me baisse et je prends cette verge que j’avais cru à jamais perdue à l’aller.
Je commence à avoir l’habitude d’être prise comme hier sur la terrasse par ces jeunes qui passent par-derrière.
J’ai les seins posés sur le capot qui sont bouillants comme l’est le moteur de cet engin.
Au moment où il décharge en moi, ayant attendu que je jouisse, je vois que dans le camion de droite, le chauffeur a tiré son rideau et me regarde me faire baiser.
Ma jouissance et les traits de sperme épais qui tapissent ma chatte coïncident avec le coup de trompe que le chauffeur donne depuis son camion.
Je vois le camion de Gaston venir se garer de l’autre côté de ce voyeur qui a dû avoir un beau spectacle.
Nous rejoignons Gaston, mais avant, Joël sort de sa poche un mouchoir en papier afin que je puisse m’essuyer la chatte.
- C’est bien nous sommes tous à l’heure, dépêchez de finir vos effusions, ...
... avec le mistral qui souffle, ça me ralentit et il faut que je sois aux portes de la Bourgognes Franche-Comté à Maçon afin de faire mes deux heures de pose.
De retour à notre entreprise, jamais plus je ne me plaindrais du retard qu’ils prennent à cause des contraintes de leur métier.
Quelques effusions, nous montons ma valise sur la banquette et je place le taureau et le vin à mes pieds.
Déjà maintenant il m’emmerde, heureusement c’est chez Pierre qu’il sera.
Joël me fait signe en même temps qu’il fait la circulation pour que nous reprenions notre route.
Comme à l’aller, avec le bercement de la cabine et la monotonie du ruban devant nous, je m’endors.
C'est le bruit des freins qui me ramène sur terre, là encore nous sommes garés entre deux autres camions.
Je m’aperçois que la pluie tombe, plutôt un crachin.
Comme à l’aller, Gaston descend ma valise, je vais jusqu’à la station un peu frigorifiée.
Je remets mes vêtements de fille du Nord, oubliant de nouveau de mettre une petite culotte.
Quand je reviens il dort dans sa couchette, malgré mon pull j’ai un peu froid, une heure et demie à attendre avant de repartir.
Il y a assez de place à ses côtés, je me glisse et je fais glisser la couverture sur moi, rapidement comme lui je dors.
J’ai l’impression d’être caressée, oui je dis bien caressée, deux doigts sont dans ma fente.
Je me réveille, ma jupe est bouchonnée autour de ma taille, elle va être complètement froissée, mais j’écarte mes ...