1. COLLECTION VENGEANCE : Elle me trompe, je me venge. (1/4)


    Datte: 06/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    La belle Aurélie, comme le disent ses amis, est ma femme depuis dix ans d’un bonheur toujours égal, jusqu’au jour où à la maison alors qu’elle est partie à son travail pour la matinée, je remarque que l’écran de son ordinateur est encore allumé, mais est déjà en veille.
    
    Le tiroir où elle range ses affaires est ouvert et une feuille est apparente.
    
    Je vais pour le fermer quand je vois « Mot de passe ».
    
    E-mail « Adrien2212 ».
    
    2212, je suis né le 22 décembre.
    
    La Redoute « Redoute2212 » et de nombreux noms de sites toujours finissants par 2 212.
    
    J’allais couper quand je m’aperçois, non, je cherche avec qui elle correspondait.
    
    Rosana, sa meilleure amie semble avoir sa préférence.
    
    Son dernier message.
    
    « Je l’ai fait, je me suis connecté sur le site de rencontres que tu m’as donné et j’ai accepté la proposition d’un mec.
    
    Il m’a envoyé un mail et m’a fait voir sa photo, il est très beau, je le rencontre cet après-midi après mon travail, dans l’hôtel du centre de Créteil chambre 12.
    
    J’espère que comme tu me l’as dit, je vais m’éclater, car tromper Adrien, pourquoi pas, mais si c’est pour être déçu, je préfère revenir à la maison, même si je me morfonds tous les après-midis. »
    
    J’ai quelques notions en informatique aussi, je regarde son historique et je vois le site où elle a trouvé son rencard.
    
    L’après-midi je me rends à Créteil et je constate qu’elle a franchi le pas, car je la vois entrer dans l’hôtel.
    
    J’ai failli l’intercepter, car si ...
    ... j’ai bien lu ce rendez-vous sera le premier et en l’empêchant, j’aurais pu comprendre pourquoi elle en est arrivée là.
    
    Mais j’ai un problème, ma fierté, qu’elle ait eue une fraction de seconde l’idée de me tromper, est déjà pour moi une faute impardonnable.
    
    Deux heures, je reste à quelques mètres de la porte de l’hôtel, quand je la vois sortir ayant immanquablement consommé son adultère, je suis cocu et j’ai beaucoup de mal à le digérer.
    
    Je démarre afin de rentrer chez nous avant elle.
    
    • Tu es là.
    
    • Oui, je suis rentré plus tôt, j’avais mal à la tête, j’ai pris du paracétamol, je me sens mieux.
    
    Et toi.
    
    • Moi routine, après le travail, j’ai rejoint Rosana et nous sommes allés à Créteil soleil faire du lèche-vitrine.
    
    • Tu as fait chauffer notre carte bancaire.
    
    • Non, elle a acheté des chaussures, j’ai aussi failli craquer, mais je me suis souvenu que tu te plains toujours que j’achète futile, si tu penses que j’ai dépensé de l’argent vérifie notre compte.
    
    • C’est bien, tu deviens raisonnable même si nos moyens nous le permettent.
    
    Inutile d’appeler Rosana, l’alibi des chaussures doit avoir été programmé après qu’elle est allée à l’hôtel quand elle lui a téléphoné pour lui raconter comment l’autre saligaud l’avait prise de toutes les façons possibles et imaginable.
    
    Deux heures à se faire baiser, cela m’étonnerait qu’elle se soit fait mettre un seul coup, le mec réussissant à se vider les couilles à dû se les assécher pour une fois qu’une salope ...
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