1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (24) Abattage


    Datte: 07/03/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    J’ai raconté, depuis ma rencontre avec Rachid (récit n°10) comment celui-ci, devenu mon mâle, avait fait de moi une «salope intégrale» et avait repoussé toujours plus loin les limites de mon hypersexualité comme le candaulisme de mon mari Philippe. Celui-ci assumait ses fantasmes plus loin qu’il n’aurait pu en rêver, lui qui, pendant des années, avait tant fait pour me convaincre d’aller vers ma pente naturelle. De son côté, il avait aussi fait son coming-out et assumait enfin sa bisexualité, car il Rachid était aussi devenu son amant, ou plutôt son mâle, car Rachid était exclusivement actif et dominateur.
    
    Pourquoi avons-nous tout accepté ?
    
    Devenue la « femelle » de Rachid, j’ai, pendant tous ces mois, avec l’accord et la complicité active de Philippe, tout accepter. Rachid m’a offerte à de nombreux hommes, en commençant par le concierge Georges, nos voisins, les collègues de travail de Philippe, à notre domicile, sur le lieu de travail de Philippe, ou chez d’autres complices de ces parties fines, comme la maison de campagne de Christine et Jean, où mon ennemie intime, Marie C. était l’ordonnatrice de séance SM de plus en plus hard.
    
    Toutes les semaines, je me rendais dans la cité de Rachid, pour être la « putain gratuite » des jeunes du quartier. Commencées dans une cave (récit n°20), ces séances se poursuivaient dans l’appartement mis à disposition par Kamel, ami très proche de Rachid. J’en reparlerai car ce détail a une grande importance, Kamel étant le frère de ...
    ... celui qui fut ensuite mon mâle et mon mari, Hassan.
    
    Oui, nous avons tout accepté et n’avons été contraints à rien. Je suis allé jusqu’à me faire féconder par Rachid, en présence de Philippe et avec son accord. Nous n’avons pas hésité à ruiner notre réputation dans la ville, méprisés tant dans la « bonne société » que dans le quartier sensible où les jeunes se vantaient de « cocufier la femme de T », un notable de la ville. Même les partouzes sado-masochistes du week-end, organisées au «château», je les acceptais.
    
    Et pourtant, les choses allaient de plus en plus loin et je n’ignorais ni les conséquences, ni les menaces qui pesaient, la plus grave étant la volonté de Marie C de me détruire et de me prendre Philippe. Celui-ci, même s’il avait eu des relations sexuelles avec elle, continuait à me porter un amour exclusif, et cela rendait Marie folle de rage et donc particulièrement dangereuse.
    
    Pourquoi alors acceptais-je tout cela et n’y mettait pas fin, comme Philippe m’y avait invité à plusieurs reprises ?
    
    J’aurais pourtant du comprendre que Rachid n’avait aucun sentiment pour moi. Au contraire, à travers moi et Philippe, il pensait prendre sa revanche sur les gens des beaux quartiers, en humiliant un notable et en montrant à tous qu’il faisait ce qu’il voulait de la belle épouse de celui-ci. Il n’avait donc pas besoin d’être poussé beaucoup pour aller dans le sens voulu par sa complice Marie C. Il m’a fallu beaucoup de temps pour le comprendre. Depuis le jour où ...
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