1. Croquer le diable par la queue


    Datte: 07/03/2021, Catégories: extracon, cérébral, mélo, fantastiqu, Auteur: Barberousse, Source: Revebebe

    ... la couette.
    
    Aussitôt, Laure se retourne, lui présentant à nouveau ses fesses qu’il se met de nouveau à caresser… Il se rapproche d’elle progressivement et se colle contre son corps pour qu’elle sente bien son érection contre ses fesses. Lentement, elle se tourne vers lui et lui tend ses lèvres.
    
    — Embrasse-moi encore, lui dit-elle.
    — Pas de souci, j’adore ta bouche…
    
    Il l’enlace à nouveau et leurs langues se mélangent… Au bout d’un moment, il laisse sa main droite glisser vers son entrejambe et elle ne se dérobe pas… Lentement, de ses doigts, il découvre sa toison intime, enroulant les poils humides de sa rosée autour de son index, puis il descend plus bas vers ce fruit défendu qu’elle protège encore un peu.
    
    — Laisse-toi faire, Laure, lui murmure-t-il à l’oreille.
    — Non, proteste-t-elle ; ce n’est pas bien, nous sommes déjà allés beaucoup trop loin !
    — Mais non, ce n’est que le début. J’ai envie de te faire l’amour. Tu n’as pas senti dans quel état d’excitation ton petit manège m’a mis ?
    — Si… bien sûr, avoue-t-elle.
    — Éteins la lumière si tu n’aimes pas qu’on te voie, mais laisse-moi goûter à ce merveilleux fruit qui coule de désir entre tes cuisses…
    — Je ne veux pas, répond-elle, tout en éteignant la lampe de chevet.
    
    Ce qui pour lui signifie son acceptation, en fait, son abdication.
    
    Il caresse les seins fermes et très excitants puis descend vers le ventre avec sa bouche. Arrivé à hauteur de la toison, il s’y attarde longuement, caressant les poils ...
    ... soyeux. Sa main glisse ensuite jusque vers l’entrée du vagin. Instinctivement, elle resserre les cuisses puis les ouvre de nouveau, le laissant la pénétrer de son majeur. Elle est tellement trempée qu’il n’a aucun effort à faire pour la pénétrer, d’abord avec un doigt, puis avec deux.
    
    La caresse doit lui plaire car elle repousse elle-même la couette et s’abandonne complètement en gémissant. Alors la bouche de Vincent rejoint ses doigts et, après quelques coups de langue furtifs sur les grandes lèvres, il remonte vers le clitoris qu’il aspire lentement.
    
    Il reste ainsi avec le bouton de plaisir dans la bouche pendant de longues minutes. Il veut faire jouir Laure, sans rien réclamer en échange. Non pas qu’il soit altruiste au point de délaisser son propre plaisir, bien au contraire, mais cela lui semble nécessaire pour obtenir qu’elle s’abandonne ensuite complètement.
    
    Une vague de plaisir monte en elle et elle se tord en râlant sous sa bouche. Ça y est, elle vient de jouir.
    
    Lentement, il lui retire les bas qu’elle porte encore. Il trouve que cela lui donne un air plus coquin, mais il a envie de sentir sa peau nue, de caresser ses jambes. Elle se laisse faire, n’ayant cette fois plus aucune réticence à le laisser soulever ses jambes et ne cherche plus du tout à cacher son intimité.
    
    Il jette les bas sur le sol, où un certain nombre de vêtements gisent déjà et il découvre la peau douce de ses cuisses. Il les caresse un long moment. Il sent que Laure s’abandonne ...
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