1. De humaine à hucow (2)


    Datte: 06/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Fantazia, Source: Xstory

    ... que je n’aperçoive pas le code qu’il entra sur le pavé tactile qui verrouillait la porte au bout du corridor et me fit entrer dans cette nouvelle pièce avant de refermer la lourde porte derrière moi.
    
    Le décor qui s’offrit alors à moi me surprit grandement, alors que je croyais être conduite dans une salle de traite semblable à la première le décor qui s’offrait à moi en était tout autre. Alors que l’endroit précédent était étroit et lugubre, des néons projetaient leur lumière artificielle éblouissante dans une salle haute de plafond. Les murs étaient distancés de plusieurs dizaines de mètres et permettaient d’avoir une vue d’ensemble sur la totalité de l’installation en un seul coup d’œil. La porte que nous venions de franchir donnait directement sur une passerelle élevée d’un mètre au-dessus des installations qui se séparaient de façon égale de chaque côté de celle-ci.
    
    Les installations constituées de grands compartiments délimités de barreaux de fer brillant contenaient tous entre dix et vingt femmes, toutes à quatre pattes, nues, munies d’un collier et d’un anneau nasal. Toutes avec une poitrine développée artificiellement grâce aux hormones qu’ils leur avaient données. Toutes comme moi à l’exception d’une chose, ces femmes-animaux étaient munies de sabots.
    
    Le seul qui sortait du décor était un promontoire munit de stalles à grandeur humaine et de tubulures que je devinai immédiatement être la salle de traite. Alexandre me dirigea à l’entrée de la première stalle ...
    ... sur ce promontoire et me guida à l’intérieur face à la passerelle. Il y avait là des ouvertures entre les barreaux suffisamment grandes pour que j’y glisse ma tête qui donnait sur une mangeoire emplie d’une espèce de bouillie. Il m’y fit glisser la tête et attacha ma laisse de l’autre côté. Rapidement d’autres femmes m’imitèrent lorsqu’il ouvrit la clôture d’un compartiment.
    
    Contrairement à ce que j’espérais il ne commença cependant pas en me trayant, il prit plutôt mes mains et y installa une espèce de sabot, chacune de mes mains enserrant une poignée solidement fixée à l’intérieur avant de refermer le dispositif d’une attache autobloquante. Il fit la même chose avec mes genoux qui furent alors impossibles de déplier, prisonniers de sabots artificiels emplis d’une sorte de gelée qui rendit, je dois bien l’avouer, la position agenouillée bien plus confortable.
    
    Je ne pouvais plus attendre, la pression à l’intérieur de ma poitrine déjà tendue avant ma marche forcée était devenue presque intenable. La peau de ma poitrine normalement d’une teinte rosée invitante s’était tendue de telle sorte que le plus petit de mes mouvements m’élançait et l’encrage de ma poitrine souffrait de plus en plus du poids que mon buste devait soutenir.
    
    — Pitié, Maître, il faut me traire, suppliai-je.
    
    Pour toute réponse ses doigts glissèrent sur la pointe érigée de mes tétons et commencèrent à les pincer fermement. Un frisson me parcourut tout entière, j’étais à nouveau totalement soumise à ...
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