1. Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres… (9)


    Datte: 06/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... passe brutalement au tutoiement et je l’apostrophe :
    
    — Toi aussi tu es une belle salope ! Tu viens de te faire fourrer par ton amant ce week-end. Je me trompe ?
    
    — Je ne vous permets pas ce genre de langage. Je ne suis pas ce que vous croyez !
    
    — Peu importe ce que je crois. Ce que je vois c’est que, depuis ton entrée, tu ne cesses pas de fixer ma queue avec envie. Je crois que ton mari et ton amant n’en ont pas une si grosse.
    
    Je m’approche d’elle et la fixe durement. Je la vois qui tremble, signe d’un début de soumission.
    
    — Touche-la !
    
    — Vous êtes fou, je ne veux pas.
    
    — Je ne te demande pas de vouloir je te demande de faire et de sentir comme elle est grosse.
    
    Pour l’inciter à plus d’obéissance je prends entre mes doigts son téton droit ; elle n’a pas de soutien-gorge ; et je le tords. Elle pousse un cri plus de surprise que de douleur.
    
    — Vous me faites mal ! réplique-t-elle en prenant en main mon chibre. Mes filles vont venir ce n’est pas bien ce que vous me faites faire.
    
    — Elles n’auront rien à dire. Tout ce qu’elles verront c’est leur salope de mère se faire enfiler par leur maitre. Allez ! Branle-moi, ne reste pas inactive.
    
    Je soulève sa robe. Décidément non seulement elle n’a pas de soutif mais elle n’a pas de culotte. Je fais pénétrer trois doigts dans sa chatte. Elle s’apprête à protester mais je lui cloue le bec en l’embrassant avec violence. Dans un premier temps, elle refuse le baiser mais succombe vite en sentant le plaisir qui monte ...
    ... en elle sous l’action de ma main qui la fouille. Nos langues se rejoignent dans un ballet fougueux.
    
    Tout en la maintenant contre moi, je la fais pencher en arrière sur la console dans l’entrée. J’écarte ses jambes. Mon gland écarlate écarte ses grandes lèvres. Bien oint par ses sécrétions vaginales il pénètre sans difficulté son vagin accueillant. Elle crie un « non » qui n’a rien de négatif. Je poursuis ma progression lentement jusqu’à buter son utérus. Ses yeux sont révulsés. Ses mains pressent mes fesses contre elle me poussant à mieux la posséder encore. Je déchire plus que je ne lui enlève sa robe et je prends sa poitrine entre mes mains. Je tords à nouveau ses tétines. Elle veut crier, ma bouche l’en empêche. Ma verge pulse au fond de son antre. Elle dégage ses lèvres de mon emprise et les approche de mon oreille. Elle me chuchote des mots tendres me commentant mon action.
    
    — Oh comme c’est bon ce que vous me faites. Continuez, prenez-moi bien fort. Vous avez raison vous baisez mieux que mon mari et mon amant actuel. Je ne suis qu’une trainée.
    
    Fustigé par le fait que ses filles vont peut-être l’entendre crier, je me déchaine en elle la poussant à hausser la voix. Elle va connaitre ce que c’est de monter au septième ciel et cela plusieurs fois. Elle pousse des cris de goret. Je vais jouir. Elle le sent et gueule :
    
    — Jouis en moi ! inonde-moi de ta semence ! Laisse-toi aller bien au fond je prends la pilule !
    
    C’est ce que je fais dans une ultime poussée de ...