Le plaisir virtuel peut être réel - Histoires de Sexe

Le plaisir virtuel peut être réel

... direction de Laurent, faisant comprendre à Francis qu’il pourrait me voir même si ses yeux ne bougent pas de son écran. Il m’implore de le faire quand même, j’ouvre donc mon chemisier et montre mon buste à la caméra. Laurent ne sourcille pas, il reste scotché à son écran et se masturbe bien maintenant.

Je retourne m’asseoir et déplace la webcam de façon que Francis puisse voir sous le bureau. C’est un peu sombre mais il arrive à distinguer ce que j’exhibe. Sur sa demande, je relève ma jupe jusqu’aux hanches, glisse ma main vers ma toison et écarte le string. Mon regard se porte ensuite vers Laurent, sans que Francis ne le sache, de manière à ce je puisse vite réagir s’il quitte son ordinateur des yeux. Mais, bien vite, je me retrouve à admirer la masturbation qu’il offre à sa bite. Je suis vraiment toute excitée et mon index me le confirme en passant sur mes petites lèvres : je suis trempée. Je commence à titiller mon clito, je le triture, le caresse, le tapote tout en matant la belle bite toute bandée et dure de Laurent. Sur la demande de Francis, je sors le godemiché et le place à l’entrée de mon vagin. Je ...

... le rentre doucement et alterne va-et-vient rapides et lents, bien avancée sur ma chaise. Francis ne manque rien du plaisir que je suis en train de me donner, et moi je ne loupe rien de la masturbation de Laurent. Mon orgasme est proche, je le sens venir… Laurent commence à souffler et à gémir, il va exploser tout comme moi. Dans le même instant, Laurent, Francis et moi et sans doute la femme de Laurent avons un orgasme intense… Je remets en place mon godemiché dans mon sac, mon string comme il faut, ma jupe sur mes cuisses, je referme mon chemisier et remets la webcam en place. Laurent range aussi son attirail, ça doit être l’heure d’ouvrir. Il fait du bruit exprès, dit qu’il va aux toilettes et que les jeunes allaient arriver. De l’autre côté de la planète, Francis me quitte pour aller se laver et dormir.

Curieuse de voir la femme de Laurent, je vais voir son ordinateur et, discrètement, sans me faire voir à la caméra, je regarde son écran. Et là, qu’est-ce que je vois ? Une fenêtre de webcam qui donne sur une chaise vide sur laquelle sont posés une veste et un sac, mais pas n’importe lesquels, les miens !