Le déménagement
Datte: 05/05/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
Auteur: Resonance, Source: Revebebe
... pourrait résister… à rien, elle en était maintenant sûre.
Tétanisée, le corps en feu, elle vit l’ombre grandir. Que pouvait-elle faire ?
Lorsqu’il posa ses deux mains sur ses épaules, Carole crut qu’elle allait tomber. Ses jambes s’évanouissaient sous elle, elle lâcha son peigne, posa les deux mains sur le rebord du lavabo pour s’empêcher de tomber.
Elle ferma les yeux alors qu’il faisait glisser ses mains vers le côté, frôlant la peau de ses avant-bras, revenant vers sa taille, puis glissant sur ses hanches, avec une douceur qu’elle n’aurait jamais pu imaginer de sa part, lui arrachant un long soupir, presqu’un gémissement.
Il s’arrêta, l’empoigna fermement, la sensation de plénitude lui amenant une pensée incongrue. « il y a bien longtemps que mes fesses n’ont pas tenues entières dans des mains d’homme… »
Elle se laissa aller, se portant en arrière, s’appuyant sur lui. Pieds nus, sa tête n’atteignait même pas son menton, et de loin.
— Baise-moi ! souffla-t-elle.
— Fortement et doucement et longuement, ajouta-t-elle dans sa tête.
L’homme fit glisser une de ses mains entre ses jambes puis pesa sur sa cuisse droite, la souleva, posa son genou sur le rebord du plan de toilette. Il repoussa Carole en avant, violemment, et celle-ci dut jeter ses deux bras en avant pour éviter de venir heurter le miroir.
— Oui ! Comme ça… baise-moi fort ! dit Carole.
Carole savait qu’en parlant ainsi elle ne pourrait plus faire marche arrière.
Elle entendit l’homme ...
... se dégrafer, regarda avidement dans la glace, vit jaillir le sexe tendu. Son désir s’amplifia encore, ce qu’elle n’aurait jamais cru possible une seconde plus tôt. Elle s’arqua, s’offrant à lui.
Il s’approcha, se mettant pratiquement à genoux pour se mettre à sa hauteur.
— Je suis trempée pour toi, ouverte, mets moi ta queue ! Gémit Carole.
Il se guida de sa main, s’enfonça lentement en elle alors que Carole exhalait un soupir de satisfaction.
Empoignant sa hanche droite d’une main, l’autre posée à plat pour s’équilibrer, il commença à aller et venir, doucement, attentif à contrôler l’ampleur de ses mouvements, Carole rivée à lui et l’accompagnant, fermant les yeux, ne voulant connaître que la sensation de la force et de la douceur en elle, puis les rouvrant, recevant le choc de leur image dans le miroir, son propre corps nu sous la lumière violente des spots, si petit sous l’ombre immense de son partenaire, avec ses cuisses écartées et la tache noire de son pubis juste au-dessus du plan, l’ondulation rythmique du bas de leurs corps, sa jambe droite frémissante, le plissement de la peau de l’avant de l’autre cuisse portant sur le rebord, à chaque poussée en avant, le visage concentré du jeune homme, si proche du sien, penché sur elle.
Elle se sentait frustrée de ne pouvoir voir le membre qui allait et venait en elle.
Carole se repoussa en arrière de ses bras, pour venir au contact de la poitrine au-dessus d’elle, regrettant de ne pas pouvoir sentir sa peau ...