1. Le déménagement


    Datte: 05/05/2018, Catégories: fh, ff, fhh, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, double, Partouze / Groupe Auteur: Resonance, Source: Revebebe

    ... femme passa ses bras sous ses cuisses, empoigna ses hanches pour en en limiter le mouvement, avant que sa bouche ne revienne sur elle. Carole se laissa aller en arrière, reposant maintenant complètement sur les livres. La sensation était indescriptible, presque douloureuse. La mordait-elle ? Ses muscles tressaillaient, ses hanches se cabraient, rétives aux bras qui les enserraient.
    
    La jouissance vint, frénétique, alors qu’elle se soulevait de tout son corps arqué en arrière.
    
    La femme se releva, enleva rapidement son pantalon et son slip, révélant un pubis rasé et des hanches fermes et musclées mais aux courbes féminines, contrastant avec son allure athlétique. Elle descendit sur Carole, pressant l’une de ses cuisses entre les siennes. Epuisée, passive, Carole la laissa faire, regardant avec curiosité la façon dont elle amenait son propre plaisir, ondulant des hanches en un mouvement continu, circulaire, pressant, frottant son clitoris sur les muscles fermes de la cuisse de Carole. En opposition avec l’harmonie du mouvement du bas de son corps, ses mains, fiévreuses, exploraient son torse, ses épaules, pétrissant ses seins, amenant une curieuse sensation, à la limite de la douleur, mais pas seulement de douleur, Carole réalisant ainsi à quel point sa peau, ses sens étaient encore à vif.
    
    Jusqu’au bout, la femme conserva le même rythme, seul un voile dans ses yeux révéla l’arrivée de son orgasme, bref, une plainte et un souffle, ses hanches s’immobilisant, les cuisses ...
    ... tendues, bloquées, la serrant à lui faire mal, avant de détendre et de la libérer.
    
    — Tu vois, je ne t’ai pas pris grand chose… lui dit-elle en se relevant.
    
    Toujours silencieuse, Carole la regarda se rajuster sans un mot et quitter la pièce.
    
    Elle se drapa à nouveau dans sa serviette, se demanda quoi faire ensuite. Elle n’avait pas envie de revenir à nouveau chercher ses vêtements.
    
    Pourquoi ressentait-elle tant d’embarras à se montrer, et si peu de véritable honte?
    
    Elle finir par fouiller dans un des cartons, en ressortir un livre, s’assit dans un coin.
    
    Le temps passa. À la raréfaction des mouvements, elle devina que le déménagement se terminait. Les hommes passaient maintenant plus de temps à ajuster le chargement dans le conteneur, et plus guère dans la maison. Elle espéra qu’ils avaient bien laissé ses affaires dans sa chambre.
    
    On frappa à la porte, c’était le jeune géant.
    
    — Excusez moi, je dois emporter les derniers cartons.
    — Allez-y !
    
    Elle le regarda les emporter.
    
    La pièce était maintenant entièrement vide. Carole se releva, entra dans sa propre chambre, et y retrouva son sac et ses vêtements.
    
    Elle entreprit de se rhabiller. Alors qu’elle venait de terminer, le jeune homme apparut la porte.
    
    — Nous avons terminé, nous allons partir.
    
    Carole le regarda. Que lui dire ? Elle n’en savait rien. Plus que tout elle avait aimé son corps. Elle savait qu’il le savait, et il lui faudrait maintenant vivre avec son souvenir, point d’orgue de cette ...