1. Mystérieuse Nathalie


    Datte: 06/03/2021, Catégories: fh, revede, Oral pénétratio, fantastiqu, Auteur: Balou, Source: Revebebe

    ... précieuses. L’armature était en or massif, gravé par des figurines de chats.
    
    — Je suis là.
    
    Je me retournai. Derrière un énorme pilier, je vis ma bien-aimée. Je restai de longs instants à la regarder, admirant sa tunique qui moulait divinement chaque courbe de son corps. Cette femme que j’avais caressée, aimée, je la revoyais ici dans une quatrième dimension.
    
    — Tu m’as manqué, me dit-elle.
    
    Je la vis marcher, … ou bondir ? Sa tunique de soie blanche, ses cheveux noirs, son regard envoûtant, ses yeux verts, fondirent sur moi.
    
    Enlacés tels deux adolescents, nous nous embrassâmes longuement, doucement, très lentement. Le corps de Nathalie était soudé au mien, sa poitrine s’écrasait contre mon torse. Nos lèvres soudées, nous savourâmes ces instants magiques jusqu’à perdre notre souffle.
    
    — Viens, me dit-elle.
    
    Ma déesse me prit la main et me guida vers le centre du temple.
    
    Nous débouchâmes dans une pièce qui devait être une chambre à coucher, du moins était-ce ma déduction, car des centaines de coussins jonchaient le sol. Par les espèces de fenêtres ouvertes, je voyais… Nathalie me retint par le bras. C’était impossible, ce n’était tout de même pas notre bonne vieille terre !
    
    — Et bien, si mon beau, tu as bien vu, nous sommes en très haute altitude ici. Si tu ne veux pas perdre la raison, crois en moi, me dit-elle de sa voix si suave.
    
    Elle m’enlaça. Sa bouche se colla à nouveau à la mienne. Je tombai sur la multitude de coussins. Nathalie arracha mes ...
    ... vêtements en un tour de main, puis elle se jeta entre mes cuisses. Son habilité réveilla ma vigueur. Ses lèvres m’avalèrent. Sa langue s’enroula autour du tronc si tendrement que je faillis jouir sur le champ. Sa caresse buccale m’enivrait de plaisir, je me sentis aspirer tout entier, je frissonnai. Ma verge était devenue si sensible que chaque coup de langue de ma bien aimée me procurait quasiment un orgasme. Je gémis sous cette bouche divine en me tordant de bonheur. Jamais encore je n’avais éprouvé une telle félicité dans la bouche d’une femme.
    
    — Petit coquin, tu aimes ça, n’est-ce pas ?
    
    Nathalie s’était redressée. Elle me regardait, allongée entre mes cuisses. Ma hampe palpitait devant son visage, attendant la merveilleuse libération. Je constatai que mon gland avait grossi, sa couleur violette lui donnait l’apparence d’un fruit exotique gorgé de jus prêt à se déverser.
    
    — Ouiiiiiiiiiii Nathalie, tu es une Reine, haletai-je.
    — Hummmmm mon beau, je suis Bastet ne l’oublie point, sinon je te laisse pour l’éternité dans cet état priapique.
    
    Elle remonta le long de mon corps, j’admirai ses seins qui se balançaient, leurs bouts dressés appelant le baiser. Sa peau dorée, ses cuisses fuselées, se collèrent à moi. Un long et fougueux baiser nous entraîna vers les préliminaires du paradis. Je récupérai une petite plume qui me servit à attiser le plaisir de mon amante. Bastet s’était couchée à mes côtés de tout son long, elle s’offrait à la plume caressante que je faisais ...