1. Une promotion


    Datte: 05/03/2021, Catégories: fhh, hbi, Collègues / Travail hsoumis, miroir, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession, extraconj, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... longues minutes où je surveille sur son visage une montée de plaisir que je voudrais faire coïncider à la mienne. On ne se refait pas, même avec mes baises d’un soir je ne peux m’empêcher de d’abord penser à l’autre, mais j’ai conscience que c’est aussi pour mon propre plaisir. Je devine à ses pressions sur mes reins que cela vient. Elle jouit encore et moi je l’accompagne. Quel dommage qu’elle n’ait pas mieux que mes « C’est bon ! C’est bon » alors que je me répands dans ma capote et qu’elle ne puisse pas profiter de mon foutre dans sa grotte.
    
    Petit repos, mais que je veux le plus court possible. Le libertinage affiché par le couple me défie d’une certaine façon. Combien d’autres hommes ont déjà eu ce privilège ? C’est un Challenge. J’aimerais partir de cette maison et alors que le mari revient, découvre sa pute de femme, alanguie, épuisée, avec un sourire aux lèvres et un « Quel bon coup » comme réponse à la question du cocu content.
    
    Pour la lutiner, je tire sur la culotte. La fente est humide, presque ruisselante. Ses sucs sont la preuve de ses jouissances. Je les déguste sans dégoût, au contraire, j’aime cette odeur de femelle déjà satisfaite et que je lèche comme un chiot. Mais pas un chiot malhabile. Non, j’use de mes lèvres, de ma langue, de mon souffle, de mon aspiration pour fouiller la fente et surtout jouer avec le clitoris que j’extrais d’une gangue cachottière et jalouse.
    
    La musique est parlante. Les « oui, oui, là, encore » sont les meilleurs des ...
    ... excitants et je ne parle pas des mains qui viennent guider les caresses. Mais je ne veux pas que la goûter et la faire jouir.
    
    Je me redresse. Je n’ai quasiment pas débandé et j’enlève la capote pour en mettre une autre.
    
    — En levrette. Mets-toi en levrette.
    
    Elle s’installe sans discuter. Je suis étonné qu’elle ne fasse pas que se tourner, elle s’installe différemment sur le lit. Mais je comprends lorsque je me place pour l’enfiler d’un coup. J’ai compris que Sandrine aime, non pas la brutalité, mais une ardeur de mâle conquérant.
    
    Oui, je comprends pourquoi ce mouvement. Elle s’est placée pour qu’un miroir que je n’avais pas vraiment remarqué, concentré sur ma mission, nous réfléchisse en position. Il est évidemment bien placé et le couple doit s’en servir pour leurs jeux érotiques surtout qu’il est assez grand aussi bien en largeur qu’en hauteur.
    
    Je me trouve pas mal.
    
    Viril, puissant, les mains posées sur les hanches de la chienne que je couvre. Une chienne qui se regarde aussi, qui n’a manifestement pas peur de se montrer ainsi, pas peur de tortiller de son cul pour mieux me sentir, pas peur de venir à mon devant pour que je la pénètre bien au plus profond.
    
    Et la chienne parle :
    
    — Regarde. Putain que c’est beau. Tu aimes ça ? Oui ?
    — Oui, j’aime bien.
    
    La chienne grogne. Maintenant elle s’est penchée et le lit ne laisse passer que des mots indistincts, mais à la façon dont elle se cambre et tortille du cul l’interprétation est évidente.
    
    Le miroir est ...
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