1. Une promotion


    Datte: 05/03/2021, Catégories: fhh, hbi, Collègues / Travail hsoumis, miroir, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession, extraconj, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... qu’ils viennent de sucer ? Combien de fois tu t’es branlé en regardant deux hommes en action ?
    
    Mais ce n’est que le début. Animée de spasmes la queue n’en finit pas de m’inonder le gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Il me brûle et m’enflamme.
    
    La pression cesse. Je peux me relever. Le regard de Sandrine est un ordre. Je dois avaler le jus de son mari.
    
    J’obéis. Je ne suis qu’une lopette qui vient de se faire remplir la gorge par un homme. Rien à voir avec le baiser échangé avec sa femme, baiser juste de partage, excitant et pervers.
    
    Pire elle se charge de pousser du doigt ce que mes lèvres ont eu la faiblesse de laisser passer.
    
    — Il est doué.
    — Hein ? dit l’autre femelle à son mari.
    — Regarde, il bande. Il a bien aimé. Hein, mon Alain, que tu as bien aimé le sucer.
    
    J’ai honte. Quel visage je dois montrer. Je connais bien pour l’avoir souvent vu, ces visages ravagés par une fellation bien menée !
    
    Et alors ? Pourquoi j’aurais honte. Ce n’est pas pire que de se faire prendre par une femme. Combien d’hommes le font, le quémandent, dans l’intimité du couple, dans une chambre bien fermée ? Beaucoup, mais peu le reconnaissent. C’est tabou. Malgré le changement des mœurs, le mariage pour tous, combien parlent encore de tapettes, de pédé, de gouines ?
    
    Dire un oui bien assumé est encore au-dessus de mes moyens, mais un oui de la tête suffit.
    
    — J’ai apporté de la pommade. Si c’est un peu douloureux, elle te fera du ...
    ... bien.
    
    La voix de Sandrine me ramène dans la chambre. En une seconde j’ai revécu la nuit dernière. Pas étonnant que j’aie mal à la mâchoire. De la crème ? Pour ?
    
    Oh ! Je me souviens. La nuit ne s’est pas terminée ainsi.
    
    *********************
    
    C’est comme si rien ne s’était passé. Nous nous retrouvons, Pierre et moi, l’objet de toute l’attention de sa femme. Elle nous caresse. Nos deux bites sont bien raides. Lui aussi a rebandé très vite.
    
    Sandrine vient vers moi. Elle monte pour se prendre sur ma queue avec envie. Elle se remplit avec. Elle bouge, se tortille, gronde sans aucune retenue. Quelle salope ! Elle est encore plus chienne avec son mari à côté de nous.
    
    Son mari qui nous cède le canapé. Sa femme m’entraîne et elle s’allonge. Je la suis toujours planté en elle. De toute façon maintenant ses cuisses se font une douce prison. Elle me garde au plus profond. Je peux à peine bouger, mais c’est bon.
    
    Et puis je sens une langue chaude envahir mon anus. Elle me lèche… Non, « IL » me lèche, car ce ne peut être que son mari. Le miroir de la chambre me manque. Il était un parfait révélateur. Mais qui d’autre dans cette pièce peut me faire cette caresse si intime, peut-être la plus intime de toute, pousser sa langue dans ma rondelle. Je suis plaqué contre la femme et je couine. Personne ne peut me voir, le visage caché au creux de son épaule. Je couine et je gémis, le cul trempé et brûlant.
    
    Lorsque je sens son mandrin se frotter, je sursaute. J’ai encore l’image du ...