1. Une promotion


    Datte: 05/03/2021, Catégories: fhh, hbi, Collègues / Travail hsoumis, miroir, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession, extraconj, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... son mari. De cette bouche qui s’adapte à chacun de nos mandrins. De la bosse que le gland forme sur la joue. De nos soupirs. De cette main qui remplace la bouche comme pour dire : « Ne soit pas inquiète, je reviens. « De ce doigt qui titille ma corolle et qui se crispe pour mieux caresser ma prostate.
    
    Et puis elle ne se consacre plus qu’à moi. Elle a décidé de me faire cracher. La salope sait comment faire. Combien de mâles ont juté, qui dans sa gorge, qui dans sa chatte, qui dans son cul. Elle sait utiliser les grands moyens. Elle me termine, lèvres bloquées sur mon gland, une main qui me branle et l’autre qui me plante le cul. Je jouis.
    
    La salope se fait un plaisir de me proposer mon foutre. C’est autrement plus vicieux que les fois où j’ai essayé en solitaire. Plus vicieux et surtout beaucoup plus qu’un doigt mouillé. Elle pousse ma liqueur dans ma gorge. La bataille de langue n’a pas lieu. Elle gagne à chaque fois et je me suis presque habitué à mon sperme. Après tout on adore que nos femelles le boivent, pourquoi pas nous ?
    
    Le regard de Pierre est goguenard. Il a sûrement déjà vu sa femme me donner la becquée. Et j’imagine que cela fait parte de son quotidien.
    
    La pute me laisse, les lèvres grasses de cette liqueur pour replonger vers son mari. Il n’a pas débandé. La bite est toujours aussi imposante, peut-être encore plus qu’avant. Comme elle n’arrive pas à tout le gober, elle le lèche sur toute sa longueur pour s’attarder longuement vers les ...
    ... couilles.
    
    Je regarde bien sûr. Eux aussi me jettent des regards. Tout en suçant son mec, Sandrine tend une main vers moi et posant un doigt sur ma mâchoire la pousse vers le haut. Le sourire des pervers est moqueur. Je me suis laissé surprendre la bouche ouverte comme lorsqu’on accompagne un enfant à qui on donne à manger.
    
    Pascal sourit. Sa femme aussi. Elle a abandonné un mandrin gluant de salive.
    
    — Essaye, me dit le mari. Suce-moi, ajoute-t-il en me faisant un signe.
    
    Sandrine recule. Un dernier sursaut d’orgueil me commande de ne pas m’agenouiller comme elle. Je me penche. Chaque centimètre qui m’en approche me rend la bête plus énorme. Je ne sais si j’ai un mouvement de recul et si la femme l’a senti, mais je sens sa main sur ma tête. Elle me parle, mais je ne l’entends pas distinctement. Mes oreilles bourdonnent.
    
    La pression se fait plus forte. Mes lèvres sont à quelques millimètres du gland.
    
    Je ne sens plus la main. Je peux me relever. Je peux me relever et dire que je ne mange pas de ce pain-là. Qu’il y a une frontière entre se faire prendre par une femme et sucer son mec. Et puis quoi encore ? Lui va me sucer ? Je vais le pendre par derrière comme sa femme ? À moins que ce soit lui qui… Non, pas possible, trop gros.
    
    C’est ma langue qui me trahit. C’est elle qui part à la découverte de cette peau si douce, grasse de la salive de la femme. C’est comme une glace dont la boule est si grosse qu’elle déborde du cornet. Je lèche, cours sur tout le gland.
    
    Je ne suis ...
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