Une promotion
Datte: 05/03/2021,
Catégories:
fhh,
hbi,
Collègues / Travail
hsoumis,
miroir,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
hsodo,
confession,
extraconj,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... C’est comme si mon subconscient avait choisi de me cacher ce qui semblait une évidence. Oh, pas les premières fois, mais par la suite, ce miroir omniprésent, témoin de nos jeux, vers lequel nous nous tournions pour mieux profiter de ce que nous faisions. Se voir ainsi, à quatre pattes, un gode activé par sa maîtresse ou allongé les jambes relevées comme une femelle alors que Sandrine me bourre le cul ! Oui se voir, même en position indigne, pire humiliante, ne fait qu’exciter encore plus.
Alors que ce miroir ne soit pas que réfléchissant, mais transmettant, m’étonne à peine. Voici donc pourquoi Pierre ne nous rejoignait pas. Il était aux premières loges. Il a dû assister à ma lente déchéance.
Pourquoi culpabiliser ? Après tout sa femme m’a bien dit que Pierre avait lui aussi goûté au plaisir de se faire prendre.
— Il est temps qu’il nous rejoigne, tu ne crois pas ?
Je fais un signe de la tête. Après tout, pourquoi pas. Au fil des jeudis j’ai espéré que le mari se joigne à nous pour une partie à trois. Peut-être pas dans ces conditions, mais pourquoi avoir honte !
Il est là. Elle lui a fait signe. Imposant par sa stature, mais aussi par la charge émotionnelle. Sandrine n’a pas bougé. Du coup moi non plus.
Il se déshabille. Son torse est poilu, renforçant cette impression de virilité et lorsque son sexe apparaît, il ne fait que la confirmer.
La verge en impose. Elle repose sur les bourses qu’on devine massives. On dirait une bite en érection, mais encore ...
... molle.
— Viens mon chéri. Viens.
Sandrine l’appelle. Il fait un pas vers nous et elle se saisit de la verge. En quelques mouvements elle la fait frémir, transformant ce morceau de chair en tige imposante. Mais c’est sa bouche qui achève la transformation. Je ne sais pas comment elle peut s’ouvrir si grande pour en accueillir le gland et un peu de la hampe. La bête est aux proportions de son maître. Seule l’absence de pilosité en atténue la bestialité. Comment un engin si gros peut-il tenir à l’horizontale ?
Et il tient. Lorsque Sandrine le libère, c’est une poutre qui m’apparaît. J’ai l’impression que Pierre hésite. Il ne peut douter de mon regard. Je ne suis certainement pas le seul amant que sa bite a impressionné, ou pire fait sentir un peu ridicule, même si je sais que la taille n’en fait pas obligatoirement un outil apprécié des femmes qui peuvent avoir de l’appréhension de s’enfiler un engin pareil !
Il passe derrière sa femme. Sandrine se penche sur moi à nouveau. Je vois le torse poilu qui la domine. Je sens son mouvement. Le gode avance en moi. Il avance, avance, transmis par le mandrin qui enfile sa propriétaire.
C’est tout ? C’est si facile que ça ? La femelle est-elle si habituée à recevoir la grosse queue de son mari qu’il l’encule sans effort ?
Tout le fait penser ! Surtout que déjà la brute s’active. Que chacun de ses mouvements m’est transmis par le gode de Sandrine.
Ne plus penser !
Regarder ! Profiter ! Déguster !
Plaisir des yeux. ...