1. Microfictions : 4- La cuisine


    Datte: 05/03/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... t'inquiète pas. Je sais que tu ne veux plus de moi, ingrate que tu es.
    
    - Ingrate ? Et pourquoi grands dieux ?
    
    - Eh bé, on a passé souvent du bon temps ensemble, non ? J'adore ton corps, tu le sais. Tiens, là maintenant, de le deviner sous ton peignoir, je bande.
    
    - Arrête, ne commence pas.
    
    - Tu ne me crois pas ? Tiens, regarde.
    
    Et il déboutonna son jean, libérant son pénis déjà dressé et décalotté, prêt à l'emploi. Un pénis que Muriel connaissait par coeur pour l'avoir souvent léché, sucé, tété, enfoncé jusque dans sa gorge. Elle sentit une onde de chaleur envahir son bas-ventre. Alerte ! Elle se leva brusquement du fauteuil face à lui et gagna la cuisine pour rapporter le café, pas encore tout à fait filtré. Pendant qu'elle attendait, dos à David, celui-ci s'approcha furtivement et l'enlaça, sa bite tendue contre ses fesses, ses mains soupesant ses seins lourds à travers le peignoir. Et il l'embrassa dans le cou. Le cou et les seins, c'étaient les points faibles de Muriel. Elle tenta de se dégager mais ne réussit qu'à ouvrir son peignoir où les mains de David s'engouffrèrent. Un long pelotage s'ensuivit pendant que le café coulait. Muriel ne réagissait plus. Elle laissa même une de ses mains glisser dans son dos à la recherche de la bite, qu'elle branla légèrement. Elle était en train de capituler sans condition. Encouragé, David releva le peignoir et vérifia l'humidité de la chatte, avec l'aide de Muriel qui écarta légèrement les jambes. Conforté, David lui ...
    ... releva une cuisse et, le pantalon aux chevilles, la pénétra tout en continuant à lui pétrir les seins. En appui sur le plan de travail de sa cuisine, Muriel répondit aux coups de bite par des rotations de hanches que David trouva merveilleusement jouissives. Il retrouvait là la femelle experte de la baise qu'il vénérait et qu'aucune femme de sa connaissance n'égalait. Elle fit glisser son peignoir qui tomba à ses pieds et elle apparut entièrement nue à son amant qui la retourna.
    
    - Sur la table, souffla-t-elle, prends-moi sur la table. Et déshabille-toi.
    
    David s'exécuta fébrilement, aidé par Muriel qui, désormais, ne s'appartenait plus vraiment. Elle le voulait nu devant elle, en elle. Elle voulait mater son jeune corps parfait pendant qu'il la possédait et savourer sa chance d'être baisée par un beau mec. Là, chez elle, dans sa cuisine. La hauteur de la table était parfaite. Leur sexes s'emboitèrent sans effort. Museau contre museau, buste contre buste, yeux dans les yeux, le couple copulait avec ardeur. Les reins verrouillés par les cuisses de Muriel, David la pilonnait au point que la table s'était déplacée pour se coller au mur et ainsi affirmer une pression encore plus forte de son pénis. Muriel perdait tout contrôle, bramait, feulait, stimulait, laissant même échapper ou ou deux mots grossiers qui étaient, pour David, le signal d'un orgasme imminent. De fait, elle expulsa un profond soupir assorti d'un sourire lumineux et elle lâcha :
    
    - Que c'était bon ! Mais ...