1. La maîtresse vierge


    Datte: 04/03/2021, Catégories: f, fh, ffh, bizarre, vacances, amour, pied, chaussures, Masturbation intermast, fgode, préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, init, Auteur: Joker, Source: Revebebe

    ... inquisiteur de sa concierge. Aussi partaient-ils régulièrement en week-end, préférant les destinations chaudes, le sud de la France où Florence pouvait passer ses toilettes légères. Un souffle suffisait alors pour gonfler ses jupes légères, dévoiler le duvet du haut de ses cuisses et mettre en appétit son partenaire. Un sentiment de tendresse avait fini par naître entre eux. Daniel se rappellerait longtemps, toujours peut-être, ce soleil couchant sur le massif des Maures, contemplé depuis une table d’orientation. Il avait saisi Florence par la taille et l’avait grimpée sur la table. Il avait glissé ses bras entre ses cuisses et l’avait pénétrée de face, lentement, langoureusement. Elle l’avait embrassé divinement, s’était pendue à son cou, et l’avait reçu debout, en équilibre sur un pied, l’autre jambe encerclant ses hanches.
    
    Puis un jour, c’était en mai, Daniel reçut un coup de téléphone énigmatique.
    
    — Allô, je suis ta maîtresse. Je t’ordonne de venir chez moi à 16 heures pile !
    
    Daniel n’eut pas le temps de dire un mot, la sonnerie du téléphone indiquait que sa correspondante avait raccroché. À 15h59, il était derrière la lourde porte de l’appartement de Béatrice. Un peu ému, il pressa le bouton de la sonnette. Une voix qu’il connaissait trop bien l’invita à pousser la porte.
    
    — C’est ouvert.
    
    La porte coulissa sur ses gonds découvrant une image féerique aux yeux du visiteur. Somptueuse dans une robe de voiles et de tulles blancs, Béatrice semblait occuper ...
    ... l’intégralité de l’espace du hall d’entrée. Daniel repoussa la porte tandis que Béatrice suivait chaque mouvement du regard, le corps strictement immobile.
    
    — Je vais me marier.
    — Euh, je vois. Enfin… c’est pas une de tes nouvelles blagues ?
    
    Pour toute réponse Béatrice leva la main gauche, se déganta et dévoila un bijou d’une taille quasi indécente. Elle se re-ganta et reprit sa pose naturelle.
    
    — Et comment se nomme l’heureux élu ?
    — Ça n’a pas d’importance, tu ne le connais pas, il ne te connaît pas, d’ailleurs nous nous envolerons pour Berlin dès la fin de la fête, et c’est là-bas que je vivrai.
    — Tu es heureuse ?
    — Oui, je suis heureuse.
    
    Mais elle reprit :
    
    — Je m’en vais, mais je suis toujours ta maîtresse, ne l’oublie jamais.
    — Et moi alors ?
    — Toi, tu es mon bel amant et tu vas me dire au revoir très gentiment.
    
    Disant ces mots, elle rassembla les volutes de sa robe, dégageant ses escarpins, ses bas satinés. Elle s’inclina, posa ses mains gantées de maille blanche sur ses cuisses, les fit glisser sur ses genoux, sur ses mollets tout en s’inclinant.
    
    Daniel prit son temps et fit durer quelques secondes la posture. Il la contourna, l’effleura, fit glisser sa main le long des lobes des fesses de Béatrice. Elle frissonnait. Puis il glissa un doigt dans l’anus étroit de Béatrice : elle ne s’était pas préparée, avait formé le projet d’être prise à cru, de souffrir une dernière fois pour mieux se souvenir de ses ébats érotiques.
    
    Lorsqu’elle se redressa ...