1. Une famille sexuellement débridée (2)


    Datte: 04/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... clair.
    
    Je mesurai l’exploit car mon frère et moi avons la même bite. On les croirait clonées, Même longueur, même circonférence, même gland plus large que la hampe et très dessiné, mais moi je suis circoncis. Il n’empêche, elle avalait toute la pine avec frénésie J’enviais mon frère sans pourtant oser lui demander de me céder la place.
    
    C’en était trop, je me mis à gueuler à l’approche de l’orgasme et, machinalement, l’ayant souvent vu faire dans les films et raffolant de cette pratique, je dirigeai ma bite vers sa poitrine. Le sperme fusa, frappant les deux globes avec puissance, recouvrant le téton que j’avais libéré, s’écrasant sur la main de mon frangin et ruisselant dans le creux de la gorge.
    
    Puis, je m’approchai pour expulser jusqu’à la dernière goutte et pressant bien sur l’extrémité de ma verge, puis pour essuyer mon méat sur le téton recouvert de foutre... enfin je me reculai pour contempler la scène.
    
    - Putain ! T’as juté comme un taureau frangin! Y’a combien de temps que tu t’es pas purgé les burnes ? Tu jouis autant quand on se tape une queue ?
    
    - Ben oui, j’pense...
    
    - La vache, tu l’as inondée ! Tiens, j’ai une idée !
    
    Gilles, de sa main couverte de mon sperme, attrapa alors le gode que je venais de lâcher et le trempa dans tout ce qu’il put ramasser de foutre. Puis il en caressa la vulve et le réintroduisit brutalement dans la chatte et le faisant coulisser le plus rapidement possible.. Je regardai cela d’un air absent, comme si ce n’était qu’un ...
    ... rêve ou un film.
    
    Il se retira un instant de la bouche de ma sœur.
    
    - Suce le gode !
    
    Elle le fit sans l’ombre d’une hésitation et avec une passion dévorante. Puis, il se mit franchement en 69 et lui bouffa le con comme un panier de fraises.
    
    Ils étaient magnifiques à observer.
    
    Les cheveux bruns bouclés et épais de mon frère dissimulait presque entièrement son visage enfoui entre les deux cuisses. Son cul poilu et musclé, dansait au dessus du visage de ma sœur dont les mains posées sur les reins retenaient captif le baiseur.
    
    Elle jouit bientôt en cessant d’avaler la queue fraternelle pour crier aussi, plus fort que ma mère ne l’avait fait auparavant. Mon frère se redressa pour se libérer et lui lâcha la sauce sur le visage au moment où les dernières secousses du cataclysme vaginal la secouait.
    
    Gillou, coup tiré, se redressa et se figea en regardant vers la porte. Je me retournai et la honte m’envahit.
    
    Mon père et ma mère se tenaient sur le seuil, ma mère en avant et mon père dans son dos mais dépassant suffisamment pour laisser voir le meilleur de son anatomie, entièrement nus, encore couverts de la sueur de leurs ébats, les poils pubiens mouillés, la vulve rougie et gonflée, pour ma mère et la bite de mon père épaisse, quasiment écarlate, recalottée, et les couilles pendantes exhibées sans gène; ils nous mataient.
    
    Etendue, se reposant de ses efforts, ma sœur ne pouvait pas les voir.
    
    Ce fut papa qui rompit le silence gêné.
    
    - Putain, j’ai bien cru ...