1. La contrôleuse sans interdit


    Datte: 03/03/2021, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail douche, volupté, massage, Oral fdanus, historique, Auteur: Phileras, Source: Revebebe

    ... chaise et un tabouret métalliques. Dans la deuxième partie, séparée par une cloison, un bac à douche entièrement maçonné qui semble démesuré. On doit y tenir facilement à trois ou à quatre. Au-dessus une énorme pomme de douche, celle qui permet d’avoir des cascades d’eau sur le corps. À côté, une petite douchette complémentaire pour se rincer partout et plus en douceur.
    
    — Édouard, savez-vous à quoi sert cette belle table en bois qui est à l’entrée ?
    — Je n’en ai aucune idée.
    — Elle sert à masser et à faire d’autres choses très agréables avec un beau jeune homme comme vous.
    
    Édouard apprécie tout particulièrement cette femme qui décrit tout à demi-mot sans jamais prononcer les mots fatidiques : amour ou aimer. Édouard enlève sa blouse et l’accroche à un porte-manteau. Il s’assied ensuite sur la chaise en fer et fixe Madame Contra dans les yeux :
    
    — Si j’ai bien compris ton regard, mon bel Édouard, tu aimerais que j’enlève ma blouse.
    
    Édouard marque un petit geste de recul, presque imperceptible, mais que Madame Contra repère instantanément :
    
    — Ne t’inquiète pas, Édouard, dès demain dans l’atelier tu redeviendras Monsieur Écorcier et je te dirai « vous ». Mon problème c’est que je ne sais pas vouvoyer dans l’intimité.
    — D’une part, je ne suis pas inquiet, et d’autre part vous pourrez continuer à m’appeler Édouard si vous le voulez. Je ne suis pas un faux-cul et cela me fera plaisir. Par contre, ce serait vraiment sympa de me dire « vous » en public. Pas pour ...
    ... vous, pour les autres, parce que je ne suis pas là pour casser les habitudes et les traditions. En privé vous avez quartier libre.
    — Édouard, j’ai un prénom : Claire. Tu as aussi quartier libre pour l’utiliser en privé.
    
    Édouard fixe à nouveau Claire Contra dans les yeux et lui dit :
    
    — Claire, vous aviez bien compris mon regard. Votre blouse semble désormais superflue.
    
    Claire défait lentement les boutons de sa blouse en commençant par le haut. Comme le pensait Édouard ce matin, elle ne porte pas de soutien-gorge. Petit à petit sa poitrine se devine puis se découvre. Le dernier bouton défait, Claire retire avec beaucoup de sensualité sa blouse. La beauté de ses seins surprend Édouard qui pousse un « oh » plus qu’admiratif. Elle se rapproche d’Édouard, se penche vers lui et lui dit à voix basse, comme pour accentuer leur intimité naissante :
    
    — C’est vrai que si je suis une femme ni belle, ni moche, les hommes trouvent généralement que j’ai une poitrine magnifique.
    — Qui ne demande qu’à être caressée et embrassée.
    
    Claire se recule et enlève la dernière pièce de vêtement qui lui reste : une magnifique petite culotte en dentelle bleue nuit. Édouard se lève, prend Claire désormais toute nue dans ses bras et lui déclare :
    
    — Je ne sais pas si des hommes vous trouvent ni belle, ni moche. Je vous répondrais que je m’en fiche royalement. Moi, du haut de mes vingt ans, je découvre en face de moi une femme très belle, très sensuelle avec des seins resplendissants, des seins ...
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