La contrôleuse sans interdit
Datte: 03/03/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
douche,
volupté,
massage,
Oral
fdanus,
historique,
Auteur: Phileras, Source: Revebebe
... n’as pas ce matin le dynamisme que tu avais hier soir.
— Le matin c’est souvent assez dur pour moi. Si on avait fait un gros câlin, je serais mieux réveillé.
— Je te l’ai dit hier, je suis d’accord si on met le réveil trois quarts d’heure plus tôt. Je dois être à la boulangerie à sept heures sonnantes.
— On en reparlera, il y un compromis à trouver.
Béatrice sert Édouard qu’il ne faut visiblement pas brusquer sous peine de bêtises : le bol ne demande qu’à se renverser et la confiture qu’à aller sur la table. À sept heures Béatrice se lève et dit à Édouard :
— N’oublie pas de fermer l’appartement avant de partir. Ce soir rentre avant sept heures et demie au plus tard pour le dîner. Si tu es en retard ou si tu as le moindre problème, passe-moi un petit coup de fil pour me prévenir.
— Bien sûr, c’est promis.
— Je crois qu’après le dîner, j’aurai envie de me coucher assez tôt… et de ne pas être trop sage avec toi.
— Envie partagée, je te violerais bien une deuxième fois.
Béatrice descend son petit escalier quatre à quatre et Édouard ne tarde pas à en faire de même. Il préfère arriver en avance pour son premier jour de travail.
Pendant le trajet qui mène à l’usine, Édouard remet en place toutes les idées qu’il a dans sa tête. Il repense à tous les conseils qu’on lui a déjà donnés. Le primordial, c’est le travail bien fait. Tatiana, la jeune technicienne avec qui il va travailler semble sérieuse, compétente et, ce qui ne gâche rien, sportive et plutôt bien ...
... physiquement. Tout cela doit grandement contribuer à rendre son travail agréable. Mais que va-t-il se passer quand elle sera partie ?
Sabine Sudra, la fille adoptive du patron, la belle brune aux cheveux noirs qui descendent jusqu’à la taille, Édouard en ferait bien une petite amie. Pour l’instant, l’affaire ne semble pas trop mal engagée, les petits cours de maths particuliers qu’il va lui donner demain vont certainement faciliter sa tâche, mais comme le dit le proverbe : « Il ne faut jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué ».
Le seul problème qui n’en est pas réellement un, c’est Mademoiselle Parson qu’Édouard a de plus en plus tendance à surnommer « Miss Prison » dans sa tête. Concrètement il ne va la rencontrer qu’un quart d’heure par jour, ce n’est donc pas un drame.
Les fameuses bobineuses, qui sont-elles ? Une usine où il n’y a que des femmes, pour Édouard c’est une vaste zone inconnue. La solution provisoire : rester neutre et courtois, et ne laisser paraître aucun sentiment autre que la convivialité et la compétence.
En arrivant à l’usine Édouard se dirige directement vers le bureau de Monsieur Dumarez qui l’attend en compagnie d’un homme de son âge :
— Entre, mon jeune ami, je te présente « Monsieur Antoine », le séducteur de nos gestionnaires de production allemandes pendant l’occupation.
— Curieuse présentation, Dimitri, mais avec toi il faut s’attendre à tout.
Monsieur Antoine, de son vrai nom Antonin Acol, et Dimitri Dumarez se regardent ...