COLLECTION LESBIENNES. Gladys (3/6)
Datte: 02/03/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Ce texte est un cadeau de Noël et de fin d’année pour mon amie Florence27 la reine des textes lesbiens et Olga T qui nous régale avec ses textes du passé.
C’est près de Bordeaux que Clément, mes trois filles et moi sommes allés habiter afin que mon mari retrouve du travail alors que depuis deux ans il a été licencié de son emploi en région parisienne.
Nous venons de passer la soirée chez ses patrons au bord de leur piscine et c’est là que Gladys a réussi à me faire chavirer.
• Enfin chérie, je me suis dit pourquoi attendre demain ce que nous pouvons faire le jour même,
Clément est couché, nu comme un ver, sa queue en main, entièrement bandée.
• Je vais rapidement dans la salle de bains, je suis couverte de chlore, je pue, j’arrive.
Je vais dans la salle, je me lave insistant sur mon intimité, n’ai-je pas joui sous les doigts d’une femme.
Clément m’attend, cette jouissance acceptée fait-elle de moi une lesbienne, les jours prochains me le diront, j’espère.
• C’est malin, Ophélie, j’ai débandé.
• Comment avons-nous faits tout à l’heure, avant d’aller à notre rendez-vous ?
Je le rejoins sur le lit, je prends son sexe en main et sans aucune hésitation, je me mets à le pomper, mon traitement est efficace, il bande de nouveau, afin d’éviter que sa queue ne retombe, je l’enjambe et maîtresse de nos jeux, je m’empale me redressant, j’émets un cri de plaisir.
Pendant que je monte et que je descends sur sa hampe, je repense à notre soirée et surtout à ...
... mon rendez-vous de lundi, au moment où Clément me remplit avec délice, me triturant les seins, c’est sûr, demain, j’appelle Gladys pour annuler le match de tennis.
Épuisée par la jouissance prise dans la piscine et sur la bite de mon mari, je m’écroule me plaçant en chien de fusil, c’est ma position favorite quand je dors.
Quelle heure est-il quand j’émerge, je sens la bite de Clément dans mon dos, il bande de nouveau, pourtant j’entends sa respiration et surtout ses petits ronflements que j’aime tant, ronron, ran, ronron, ran.
J’entends des cris dans la maison, ce sont eux qui ont dû me faire émerger, je me lève.
• Non, les filles, arrêtez de faire du bruit, Marthe arrête de sauter sur le canapé, tu sais que maman te l’interdit, et toi Marie, sors les doigts de ton nez, tu es dégueulasse et en plus tu manges ce que tu récupères.
J’en ai marre, je vous ai fait déjeuner et maintenant je vais être en retard à mon rendez-vous, vous êtes de méchantes petites filles.
• Merci, Lucie, je suis réveillée, papa dort encore, tu peux partir à ton rendez-vous, je prends le relais.
• J’ai encore deux minutes, les filles se sont calmées, elles ont enfin décidé de regarder Blanche-Neige, je voudrais te dire quelque chose.
Je referme mon peignoir sur mon corps nu.
• Viens dans la cuisine, je vais me faire du café, ton père en voudra quand il va se réveiller, qu’as-tu à me dire.
• Si cela peut te rassurer, je suis d’accord pour voir un gynécologue, Alexandra en a ...