Atterrissage caliente à Fuerteventura (6)
Datte: 02/03/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Nostagique44, Source: Xstory
... d’épaules, il alla rejoindre le kimono sur le sol. Nous étions proches du lit où je poussai mon amante. Comprenant mes intentions, elle se laissa tomber sur le dos, les jambes pendantes. Mon regard oscillait entre les deux demi melons qui lui servaient de seins et le début de la fente de son sexe que ses cuisses fermées m’autorisaient à voir.
Je m’agenouillai sur la peau de mouton qui servait de descente de lit, et de mes deux mains je séparai lentement ses genoux. Eva ouvrit ses jambes en équerre, me dévoilant l’antre rose de sa vulve, brillante de cyprine… Ses bras étendus de part et autre de son corps donnaient une impression de soumission totale.
Rapidement, mes lèvres allèrent se poser sur ses petites nymphes qui semblaient les attendre avec impatience. Ma langue vint laper cette liqueur au goût marin, légèrement salé ; ma bouche s’imprégnait de ce nectar jusqu’à en imbiber totalement ma moustache. Ma langue alla taquiner ce clitoris qui était sorti au maximum de son étui. À chaque contact, je sentais ma compagne se cambrer et vibrer. Je n’avais jamais rencontré une femme aussi sensible. Elle me tenait la tête, ne sachant plus si c’était pour appuyer dessus ou pour m’indiquer de ne pas aller plus loin.
D’un seul coup, alors que je venais d’abandonner ce clitoris pour introduire ma langue dans son vagin, je sentis un jet de liquide brûlant contre ma lèvre inférieure. C’était salé, mais pas aussi visqueux que la cyprine.
— Oh ! Excuse-moi ; je n’ai pas pu me ...
... retenir.
— C’était quoi ? interrogeai-je, surpris, en dégageant ma tête.
— Je ne sais pas ; ça m’arrive rarement, chaque fois que j’atteins le nirvana.
Je m’étais relevé et allongé à ses côtés en travers du lit encore protégé par un couvre-lit de satin bleu à fleurs de lys. Je me penchai sur sa poitrine afin de gober l’un de ses tétons qui semblaient ne pas demander mieux. De ma main libre je lui caressais le sexe. Un doigt la pénétra, légèrement recourbé vers le haut pour masser la partie supérieure de son vagin. Eva soupirait à nouveau de plus en plus fort et rapidement. Sa main se saisit de mon sexe et coulissa de haut en bas comme si elle voulait le décalotter encore plus. D’un seul coup, elle poussa un cri en se cambrant jusqu’à faire de son dos un arc.
— Continue, chéri… Surtout ne t’arrête pas… Je jouuuuuuiiiis !
En effet, pour la deuxième fois je venais de la faire décoller à fond. Ma main était baignée de sa liqueur et je continuais mon massage en me servant de mon pouce pour caresser son clitoris tandis que mes dents mordillaient ce téton que je sentais si dur dans ma bouche…
Je ne saurais dire combien de temps cet orgasme dura ; je commençais à ressentir des crampes dans ma main droite !
— Arrête, mon cœur ! Ça commence à me brûler ! Waouh, que c’était intensif… L’un à la suite de l’autre… Je suis vannée ! Et toi, tu es resté sur ta faim, mon pauvre cœur…
— On trouvera bien un moyen quand tu te seras un peu reposée.
— Oui ! Mon vagin me ...