Un merveilleux cadeau
Datte: 05/05/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
inithf,
Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe
... trois semaines que nous avions débuté quand elle est partie. J’étais désespéré, ne faisait plus rien. Une voisine d’amphi a repéré mon désarroi et m’a secoué. C’était une fille très énergique, qui a réussi me faire travailler, et même à me garder jusqu’au mariage. Elle se trouve auprès de moi.
— Et toi Cédric, on t’avait totalement perdu de vue. Nous t’avons négligé, c’est vrai, mais toi aussi.
— Vous avez raison, pourtant après mon repas d’anniversaire et surtout le magnifique cadeau que vous m’avez fait, j’aurais dû vous remercier. Mais vous étiez d’un autre monde que le mien. Nous n’aurions plus l’occasion de nous revoir.
— Mais ce n’est pas nous qui t’avons offert le cadeau. Diane nous a dit qu’elle s’en chargeait, sans nous en préciser la nature. Quand elle nous l’a révélée la veille, nous avons été surpris, estomaqué même. Mais elle a tenu bon.
— Enfin, Diane est la seule que j’ai eu l’occasion de revoir, pendant une longue période. Elle a été mon chef d’agence. Quand nous nous sommes retrouvés face à face, j’ai été surpris, mais heureux. Je pensais qu’elle allait dire devant le directeur que nous nous connaissions. Mais rien. Elle s’est conduite comme si j’étais un inconnu. Par la suite, jamais un mot sur ce qui s’était passé entre nous. Je ne voulais pas l’attaquer, d’une part elle était ma supérieure et par ailleurs je ne mélange jamais le boulot et le sexe. Mais je ressentais depuis toujours d’ailleurs, un sentiment profond pour elle, je l’aimais. Mais c’était ...
... la femme d’un copain, Norbert. Le jour où elle a quitté son poste, j’étais libéré de mon principe. Je l’ai invitée à dîner, et voulant prolonger cette soirée, lui avouer que je l’aimais. Mais disons qu’elle m’a nettement fait comprendre que nous n’étions pas du même milieu et qu’elle n’allait pas se mélanger avec un simple employé. Je ne l’ai plus jamais revue depuis ce jour-là. Je la retrouve seulement aujourd’hui.
— Attends, ça, c’est ta version. Mais la mienne est différente. D’abord le cadeau que je t’ai fait, ce n’est pas une idée du groupe, mais une exigence de ma part. Je voulais que tu me baises, que tu comprennes que je t’aime. Car moi, je t’aimais, et ça, depuis le premier jour, à notre entrée en seconde. Norbert m’a baratinée, je pensais que ce serait bref et que tu allais réagir. Mais rien. Tu n’as pas bougé. Je suis resté avec lui, il était beau, gentil, avait du pognon. C’est pour ça qu’avant de nous séparer, je t’ai dépucelé, j’espérais que tu comprendrais mes sentiments. Mais non, rien, pas un mot d’amour. Je suis partie pensant que tu allais chercher à me contacter. Toujours rien. De déception, j’ai quitté Norbert et me suis mise à travailler. Quand on m’a proposé une agence, j’ai choisi celle où tu étais. C’est vrai, j’ai été maladroite de ne pas dire que nous nous connaissions lors de notre contact. J’ai espéré que par la suite, tu me parlerais. Mais non, tu as continué à sortir avec des filles, m’ignorant. Aussi le dernier jour, quand tu m’as proposé de ...