1. Sexe et 3ème voire 4ème âge


    Datte: 02/03/2021, Catégories: hplusag, fplusag, hagé, fagée, alliance, nonéro, articles, Auteur: Dalibor, Source: Revebebe

    ... paraissent. Je ne parle pas des magnifiques seins 95C dont les nerfs ont été sectionnés pour enfiler la silicone. Ça c’est dégueulasse! Ou les mutilations sexuelles pour se plier à une tradition (et même pas à une religion).
    
    Faisons une petite comparaison gastronomique : il existe des amateurs de faisans et des amateurs de blancs de poulet insipide ou de junkfood MC ; ou des amateurs de camembert, plus que fait et des amateurs de fromage fondu sans goût. Est-ce qu’un amateur de faisans peut critiquer un amateur de junkfood sans y avoir goûté, en se basant sur ses impressions et vice-versa ? À mon avis, il en va de même dans le jugement du droit des aînés à forniquer.
    
    J’aimerais, maintenant, passer à un autre sujet qui lui est rattaché :
    
    En mettant de côté les côtés moraux judéo-chrétiens, j’aimerais analyser plutôt les aspects positifs d’un rapport beau-fils et belle-mère.
    
    Partons d’un constat : après trois ou quatre années de mariage, un couple normal a, un, voire plusieurs enfants qui comblent les besoins affectifs de la mère et elle éprouve moins le besoin ancestral de la procréation. Le père lui, s’il apprécie ses enfants, n’a pas le même contact, de par son activité et un rappel fréquent de sa qualité de procréateur.
    
    Pour la belle-mère, c’est plus complexe, une vingtaine ou trentaine d’années ont passé depuis son mariage, sa nichée s’est envolée ou est devenue indépendante, son époux est occupé professionnellement et sa flamme est tombée, de beaux restes ...
    ... subsistent et surtout, la question primordiale à laquelle son époux souvent ne répond pas : Suis-je encore attirante ? On peut y ajouter que, probablement, il y a un rejet de sa propre fille quand elle veut s’occuper de sa petite progéniture. Souvent les relations mère-fille sont assez tendues quand il s’agit de la progéniture. Il peut aussi arriver qu’elle soit veuve et qu’elle ait sous la main quelque chose qui comble un vide tant affectif que sexuel peut se comprendre.
    
    Comme décrit plus haut, l’envie ne disparaît que peu avec l’âge.
    
    Maintenant quels sont les avantages et désavantages : pour l’épouse, tant qu’elle ne sait rien, cela ne change rien ou presque, puisque son mari est toujours là et peut-être un peu moins exigeant; cela peut être pris comme positif.
    
    Pour le mari, une aventure avec sa belle-mère comble un besoin sexuel latent, l’empêche d’aller voir ailleurs, ayant tout ce qu’il faut sur place. Le côté « interdit » peut apporter du piquant à la liaison plus que le côté légal. Il retrouve une copie plus mûre de sa femme.
    
    Pour la belle-mère, c’est souvent pour combler un vide affectif et sexuel qu’elle peut y trouver son compte. Elle devrait, cependant, voir également le côté familial. Par son action, elle empêche, d’une certaine façon, le mari d’aller voir ailleurs d’autres disponibilités.
    
    Comme j’expliquais à mon beau-fils, qui est d’un naturel très jaloux (religion oblige), ce qui est douloureux dans un problème de cocufiage, ce n’est pas le fait ...