1. COLLECTION DOMINANT DOMINE. Expérience extrême (1/1)


    Datte: 02/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... hurler.
    
    Me nettoyer à l’eau froide, comme on pourrait le faire d’une vache s’étant vautrée dans sa bouse me ramène au rang d’un animal, je commence à avoir faim, j’ai beau réclamer, j’entends des bruits, je sens l’eau sur moi, mais personne ne me répond.
    
    Je m’habitue à l’eau froide quand des doigts écartent mes lèvres vaginales, la personne qui manie le tuyau semble avoir de l’expérience, je sens l’eau avec le tuyau repousser mes boyaux sans pour autant me blesser.
    
    Je sens l’eau sortir de ma chatte en long geyser, inondant mon corps et ma couche.
    
    Le tuyau ressort et s’attarde sur mon clito qui s’enflamme rapidement, jouirent grâce à de l’eau, il fallait y penser.
    
    Jouirent, quand les mains s’étant occupées de mes lèvres vaginales me soulèvent les jambes dégageant mon anus, le tuyau étant rapidement introduit, la pression est plus forte et je sens que mes intestins se vident de toute substance bien maigre suite au régime alimentaire que l’on me fait subir.
    
    Celui qui tient le tuyau le place le long de mes lèvres et j’arrive à faire entrer quelques gouttes d’eau.
    
    Comme quand on m’a amené, la porte se referme, une nouvelle fois sans que personne ne dise le moindre mot.
    
    Je suis complètement hors du temps quand la porte s’ouvre, on m’enlève ma cagoule et la lumière de la lampe au-dessus du lit m’agresse les yeux, cinq personnes dont des femmes, tous de cuir vêtu de la tête avec cagoule, jusqu’au pied
    
    On me détache, je suis traînée à l’extérieur d’un ...
    ... hangar et conduit dans une cave de la demeure ancienne où nous sommes, avant d’être attaché à une croix, l’une des femmes prend une cravache, me déchirent seins, bas-ventre sans épargner les partis les plus tendre et fragile.
    
    Je hurle, cela semble laisser entièrement froid celle qui me flagelle, bien sûr, je supplie qu’elle s’arrête sans qu’elle obtempère dans un premier temps, mieux, quand enfin elle arrête, le bras fatigué, je m’entends lui demander de continuer, je viens de découvrir que la douleur est aussi jouissive que la douceur.
    
    À partir de ce moment, sans l’avoir vraiment voulu, je rejoins le club des masochistes que j’ai lu dans certains textes accolés à des images montrant des femmes clouées, comme moi à une croix.
    
    La séance terminée, je rejoins mon lit ou à la place des menottes, on me met un collier comme celui que mon chien a eu, au sol, j’ai deux gamelles l’une avec de la bouillie et l’autre de l’eau.
    
    Je m’assois et je veux prendre celle où il y a une sorte de pâtes, pour constater qu’elles sont fixées au sol m’obligeant à me mettre à quatre pattes, tous me regardent sans que je voie leur expression, un de mes bourreaux semble être une femme étant très fluette.
    
    Elle a amené sa cravache et chaque fois que je lape un peu de nourriture ma croupe est déchirée par la spatule, j’ai mal au sein, j’ai mal à la hauteur de mon vagin, mais j’en redemande, car une nouvelle fois, je sens que ma chatte coule de plaisir.
    
    Il me quitte laissant la lumière allumée, ...