1. Le Manoir Aux Fleurs Partie 06


    Datte: 02/03/2021, Catégories: Sci-Fi & Fantaisie, Auteur: byVerdu, Source: Literotica

    ... davantage. Elle s'abandonnait sans réserve à la langue démoniaque qui prenait possession de son entrejambe, elle savait que bientôt celle-ci serait remplacer par un membre bien plus imposant, elle en salivait d'avance.
    
    Les gémissements de plaisir de sa partenaire plurent à Satiricon, il n'avait plus besoin d'induire le désir dans son esprit, cependant son pelage exsudait de plus en plus de poussière bleu, l'air autour d'eux en était rempli. Plus Marie en respirait et plus son corps réagissait. La tension sexuelle de la jeune femme devenait insupportable et soudain elle hurla à l'attention de son amant. "Baise-moi! Prends-moi! Défonce-moi!". N'attendant que cet instant, le satyre se souleva au-dessus de la belle et dans un lent mouvement de pénétration, enfonça son pieu de chair dans le fourreau brûlant de la femme ouverte devant lui. Quand il fut bien au fond de l'antre féminin, il la souleva et se mis debout en la maintenant avec ses mains sous ses fesses, tandis qu'elle se lovait contre lui sa poitrine écrasée contre ce torse musculeux. Leur bouche se soudèrent de nouveau et par une nouvelle modification de son corps, Satiricon pris possession de la bouche gourmande avec une langue d'une taille et d'une agilité incroyable pour qui n'y ayant pas goûté. Il préparait une dernière surprise à ma Marie quand sa queue féline se présenta devant le dernier orifice libre de la jeune femme.
    
    Ainsi prisonnière volontaire de son amant, Marie sentit la pression entre ses fesses. ...
    ... Elle comprit ce que tentait de faire Satiricon et le corps et l'esprit sous l'influence de la poussière, elle se détendit et accepta l'intromission de cette queue en elle. Aussitôt, comme dotés d'une volonté indépendante, chacune des parties de la créature qui la possédaient remuait plus ou moins en rythme. Doucement, il la reposa sur le lit et ses mains remontèrent à la poitrine qu'elles commencèrent à caresser, palper, presser. Avec sa capacité, il sentait l'abandon progressif de son amante. Bientôt, elle ne serait plus qu'un corps qui ne demanderait qu'à faire l'amour, à jouir sans arrêt et sans trêve. Ce serait à lui de décidé de stopper cette joute sous peine de tuer la jeune femme sous l'abondance de plaisir.
    
    Après une longue nuit et une matinée toute aussi longue à décliner toutes les positions possibles et imaginables avec un tel amant, Marie était épuisée. Elle dormait nue sur le lit, le corps caressé par les rayons du soleil. Satiricon la regardait repus, pendant que la jeune femme récupérait, il avait été se servir dans le réfrigérateur et avait constaté qu'elle avait toujours conservé cette habitude d'avoir une grande variété de fruit et légumes, "Oui c'est une créature de l'enfer végétarienne!" Il souriait en pensant à cela car de nombreuses fois, des femmes affolées le suppliaient de ne pas les dévorer. Il les dévorait bien mais pas de cette manière-là.
    
    Il allait devoir rentrer, il venait de ressentir un appel du Comte qui lui demandait ce qu'il faisait. Ses ...
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