1. une vengeance douloureuse


    Datte: 02/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Anal Auteur: Grenoddor, Source: xHamster

    une vengeance douloureuse
    
    la chance de résider à la campagne, c’est de profiter de la nature et de ses grands espaces.
    
    D’un tempérament très voyeur, je suis à l’affut du linge qui sèche à l’extérieur pendant mes promenades et si par bonheur de la lingerie flotte au vent, j’imagine leurs propriétaires dans le plus simple appareil, ce qui provoque de fortes érections dont je savoure chaque minute.
    
    Un soir d’été, je terminais ma randonnée un peu après que le soleil est disparu et c’est entre chien et loup que je finis proche de la maison d’une voisine récemment arrivé, ma mère m’avait dit qu’elle était célibataire et travaillait de nuit dans le corps médical.
    
    Je restais de longues minutes surveillant un quelconque signe de vie et comme il n’en était rien je passais vite à l’action, la barrière de la clôture passée, je me dirigeais vers la corde à linge qui pliait sous le poids des draps blancs, et là, entre deux rangés de drap, le saint Graal, des culottes blanches et des brassières du même coloris, je passais ma main sur toute la longueur de la corde, la douceur du coton fit raidir ma bite instantanément, je décrochais une culotte et me branlais frénétiquement dans le coton jusqu’a délivrer mes couilles de tout leurs contenus, l’excitation était telle que je mis du temps à reprendre mes esprits et ne sachant pas quoi faire de la preuve de mon méfait, je gardais la sainte relique avec moi
    
    Le lendemain matin, je questionnais ma mère au sujet de cette ...
    ... voisine.
    
    << je ne la connais pas mais je sais qu’elle poursuit des études de médecine en parallèle de son travail, on la voit pas souvent, la boulangère est plus informée que moi, c’est elle qui m’a dit tout ça >> me dit elle
    
    J’avais au moins une occupation pour le reste de mes vacances, espionner cette mystérieuse voisine pour mettre une silhouette sur l’imaginaire que je m’en étais fait.
    
    Je passais régulièrement devant la maison, les fenêtres étaient toujours fermées, et si du linge séchait je faisais mon escapade nocturne pour me branler dans ses sous-vêtements.
    
    Je désespérais de l’apercevoir, trois semaines de surveillance et aucun résultat, ma collection de culotte commençait à faire pâlir un rayon lingerie de supermarché.
    
    Et la chance me sourit, si on peut dire, un soir elle m’apparut sortant de derrière une rangée de drap, le canon d’un fusil à pompe braqué sur moi.
    
    << On peut savoir ce que vous faite là >> me lance t’elle
    
    Je restais tétanisé, ma bite dans une main et une culotte couvrant ma bouche de l’autre.
    
    << j’appel la police ou on arrange ça à l’amiable >> poursuit elle; étant incapable de sortir le moindre mot pour justifié ma présence, j’opinais doucement de la tête
    
    << oui quoi…. la police ? >>
    
    << non >> je fini par dire << on peu s’arranger ? >>
    
    Elle s’avança vers moi et poussa la culotte dans ma bouche avec le canon du fusil.
    
    << très bien, c’est par là , je vous suis >> dit elle, indiquant la direction d’un signe de tête.
    
    je sentais ...
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