Terma 68 - Omar le rouquin (4) :
Datte: 05/05/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Noura, Source: Hds
Quant ma femme, qui a découvert mes relations de sodomies avec Moussa et possédant plusieurs photos compromettantes, m’a convoqué pour qu’on discute de l’affaire, j’étais très inquiet. Elle m’a expliqué qu’elle était au courant depuis longtemps mais n’avait pas de preuves. Sur conseils d’un ami avocat, ils ont engagé un spécialiste qui a donc réussi à se procurer le double de la clé de la maison et de prendre plusieurs photos de moi et Moussa en pleines sodomies sur son lit. Alors, j’ai proposé le divorce mais elle a refusé pour éviter le scandale. Elle a préféré qu’on continue en famille, sans coucher ensemble dorénavant, bien sur, mais que je dois payer pour les avoir tous trompés, elle et sa famille et les enfants. Je dois, par écrit chez le notaire, lui céder la maison et une dette sous forme de rente d’au moins 36 mois pour elle et ses enfants. J’ai du tout accepter et j’étais même heureux que cela se soit terminé sans scandale. Et rien ne m’obligeait à cesser mes relations sexuelles avec Moussa et de continuer à donner du plaisir à ma Terma. La fréquentation de zobs n’a pas été, heureusement, discuté ni avec ma femme ni avec le notaire. Et c’est ainsi que nous avons allions vivre ensemble, chez moi, qui n’était plus ma propriété. Nous avons aménagés deux lits séparés dans la chambre et elle a été adroite pour jouer la comédie aux enfants et à nos parents. Seul Moussa savait ce qu’il en était, ainsi que l’agent qui nous a photographié, mais tenu par le secret ...
... professionnel.
J’avais à ce moment, 38 ans et mes relations sexuelles avec Moussa n’ont jamais cessé. Bien au contraire, j’ai décidé d’aller plus loin car je n’avais plus rien à cacher ni à perdre. Moussa avait trois amis, presque du même âge que lui, tous commerçants et assez discrets. Ils se réunissaient souvent dans son magasin, parfois, le soir pour régler leurs affaires (crédits,achats, importations). D’ailleurs, j’étais associé car ils importaient pour moi les vêtements féminins que je vendais. On avait pris l’habitude de boire de la bière pendant nos réunions et cela nous obligeait à pisser souvent. Et un soir, alors que j’allais aux toilettes, il y avait, avant moi, Moussa qui secouait son gros zob, devant moi, pour le vider. J’ai sorti le mien et on rigolait un peu car Moussa dirigeait sa queue vers moi comme pour comparer nos deux bites. Soudain, son copain commerçant Hamid, poussé aussi par sa vessie, pénétra les toilettes et nous vit ainsi, sans être gênés. Alors, il sortit aussi son zob et en rigolant, il commença à pisser. On était tous les trois, trop proches, devant le bidet ouvert. Seulement, Moussa, ni tenant plus, ou exprès, me tapota le derrière sans se gêner et me caressa même la Terma, sous l’œil intéressé de son copain, puis, refermant sa braguette, il quitta les toilettes. Hamid qui avait trop bien saisi le message d’intimité entre Moussa et ma Terma, s’approchant de moi, et, tout en secouant son zob devant moi, imita son copain en posant sa main sur ma terma ...