Denis Couillemolle (1)
Datte: 02/03/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: StormX, Source: Xstory
CETTE HISTOIRE A POUR BUT DE VOUS DIVERTIR ET DE RETRANSCRIRE DE LA MANIÈRE LA PLUS FIDÈLE POSSIBLE LE FANTASME DU MEMBRE QUI M’A DEMANDÉ DE L’ÉCRIRE POUR LUI.
Denis Couillemolle (1)
Denis, père de famille de 38 ans, vivait en région parisienne avec son épouse Isabelle et ses trois enfants, Lisa et les jumeaux Paul et Stéphane âgés respectivement de 20 et 18 ans.
Ingénieur en informatique dans une entreprise particulièrement en vue, Denis offrait un cadre de vie idéal à sa famille en finançant en grande partie les études et les loisirs de ses enfants. Isabelle, elle, gérait un magasin de vêtements qui rencontrait un franc succès auprès de ses clients et aidait également son mari à subvenir aux besoins de leur famille.
Cependant, malgré le tableau quasiment idyllique de sa situation familiale et professionnelle, Denis ressentait un mal-être qu’il prenait grand soin de dissimuler à son entourage.
En effet, si tout allait pour le mieux en-dessus de la ceinture, en-dessous, c’était autre chose. Profitant de quelques moments épisodiques de solitude, Denis avait pris l’habitude de se dévêtir devant le miroir de la chambre conjugale afin de prendre ses mensurations. Ces dernières le mettaient encore et toujours mal à l’aise du fait de leur petitesse.
Peu à peu, le mal-être de Denis se mua en complexe. À tel point qu’il se demandait s’il devait réellement être considéré comme ce qu’il semblait être, c’est-à-dire un homme.
Durant plusieurs mois, Denis oscillait ...
... entre l’affirmative et la négative, se disant tantôt que le fait d’être un homme ne se limitait pas à la seule taille de son organe tantôt que ce détail était d’une importance capitale pour le qualificatif.
Pendant les phases d’affirmation, Denis se contentait de se rhabiller et d’oublier temporairement son trouble. En revanche, dans les situations où il se disait qu’on ne pouvait le qualifier comme étant un homme, il s’imaginait qu’on devait obligatoirement le traiter comme un objet.
Plus le temps passait, plus les pensées de Denis allaient vers la négation de sa condition d’homme, tant et si bien qu’il décida un jour de prendre volontairement congé de son travail afin de faire le tour des sex-shops et d’y trouver un jouet lui permettant d’entamer sa "carrière de couille molle".
Au bout de deux heures de recherches, Denis finit par jeter son dévolu sur un gode noir long d’une vingtaine de centimètres et large d’environ sept centimètres. En ressortant de la boutique avec sa nouvelle acquisition, il se prit à sourire en pensant qu’elle représentait le double de ses mensurations.
Dès qu’il fut arrivé chez lui, Denis s’empressa de déballer son achat pour l’essayer. Il commença par le porter à ses lèvres pour le sucer puis il décida de tenter de réaliser le stade suivant de l’utilisation du gode. Peu expérimenté, il enfonça tant qu’il le put le jouet dans son arrière-train jusqu’à en ressentir une vive douleur qui le lui fit retirer derechef.
Denis passa à peu près ...