Jeux entre frères (7)
Datte: 01/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... les petits pédés, vous nous montrez comment vous faites l’amour ! »
— Excuse-moi, j’n’aurais pas du.
— T’as raison… putain quel con tu fais !
— Allez ! … On peut le faire, après ce qu’elles nous ont appris ; tu ne crois pas ?
— Mouai ! Tu n’as pas vraiment tort. Ok, on le ferra… quand ; ce soir ?
— Je ne sais pas, car je suis crevé ; demain si tu veux ?
— D’accord, alors ce soir je dors avec Elsa et elle va voir que je ne suis pas un pédé.
Alors que la nuit était presque tombée et la traite quasiment terminée ; les filles montrèrent le bout de leur nez.
— Ça va les garçons ? Mais vous avez presque terminé la traite ? C’est super ! s’écria Lyli
— Vous avez vu les filles ; on est des pros, hein ?
— Pas mal effectivement, vous méritez une récompense, pas vrai, Elsa ?
— D’accord, ce soir je m’occupe d’Antoine ; je veux te voir tout nu car il parait que tu es super mignon tout bronzé.
— Tu sais Lyli, je ne suis pas plus bronzé qu’hier, repris-je.
— C’n’est pas ce que ma dit ma sœur, alors je veux constater par moi-même ; et j’ai aussi envie de jouer un peu.
Sur le coup, je n’osais rien dire car cette journée dans la montagne m’avait complètement épuisé. Je ne me voyais pas faire d’acrobaties mais la proposition n’était pas pour me déplaire. À table, charcuterie, pain, fromage et un peu de vin on eu raison de moi ; je m’endormais et piquais gentiment du nez dans mon assiette.
— Lyli, tu vas pouvoir aller coucher ton bébé et je crois que ...
... tu vas être obligée de t’occuper de toi toute seule. Moi je dors avec Julien, pas vrais ? dit Elsa.
— Avec plaisir, cousine, repris mon frère.
Il n’avait pas du faire grand-chose de la journée pour être toujours en forme. Après tout peu m’importait et je m’en foutais royalement. Après une bonne douche à la cascade qui, ce soir, me paru presque chaude ; je suis allé directement me coucher et Lyli me rejoignit aussitôt.
— Allez, je vois que tu es claqué. On va être sage ce soir, viens contre moi et on dort ; bonne nuit, me dit-elle.
Elle me déposa un doux baiser sur les lèvres, passa son bras sous ma tête et je me blottis tout contre elle. J’étais bien contre son corps nu, sa peau douce et fraiche à l’odeur de lavande m’enivrait. Elle me caressait doucement la poitrine et tenta même de réveiller mon sexe, mais se fut peine perdue. Je m’endormis doucement espérant faire un joli rêve.
Le rêve fut si beau qu’aujourd’hui encore, il reste présent dans ma mémoire avec quelques passages un peu confus; il commençait ainsi :
J’avais l’impression d’être en apesanteur dans un brouillard très épais puis, petit à petit, il devint moins dense. Au loin je distinguais une forme…une silhouette ? Oui c’était bien une silhouette. Alors je me suis avancé, j’avais un peu peur car j’étais dans un bois ; je me suis mis à courir vers la silhouette qui me tendait les bras, et chantait. C’était l’air d’une chanson que je connaissais ; c’était une des chansons préférées de maman, elle ...