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Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (24)
Datte: 01/03/2021, Catégories: Trash, Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory
... avant. — C’est vrai. — Mais Mat est un vrai petit cachottier sur le sujet de sa fiancée. — Ah oui ? Oh avec moi, il n’a le droit d’avoir aucun secret. — Ah ? — Il m’obéit au doigt et à l’œil. — C’est sûr que pour obéir, c’est le meilleur. Je m’en félicite chaque jour. — Moi aussi ah ah. Ils trinquent, rigolent, discutent. La soirée se passe, je suis à l’écart mais tout va bien, pas trop de dérapages. On va pour rentrer, on est sur le parking. — Cela vous dit un dernier verre chez moi les amoureux ? — Oui ! Pas eu le temps de poliment refuser, en prétextant l’évaluation du lendemain, que Valentine avait déjà répondu. — Mais je suis un peu fatigué. Et je veux être en forme pour demain. — Eh bien allons chez nous, comme ça au pire tu peux te coucher mon chéri. — Parfait. Je vous suis. — Mais non, je monte avec vous ce sera plus simple. Allez, à tout’ Mat. Elle prend le bras de Franck et je les vois aller vers sa voiture. Je prends le volant, j’essaie de les trouver dans mes rétros, mais rien. J’arrive à la maison, j’attends dans le parking, rien. Je l’appelle, elle ne répond pas. Je monte en lui envoyant un SMS lui disant que je les attends à l’appart. Rien. Je l’appelle. Pas de réponse. Je décide d’appeler mon boss. Il finit par décrocher. — Oui Mat ? — Franck, euh, pardon de vous déranger, voilà je suis à la maison depuis une demi-heure là, je voulais savoir si tout allait bien ? — Tout va très bien ne t’en fais pas. Tu ...
... es rentré c’est parfait, comme j’habite plus près on a finalement décidé d’aller chez moi. — Pardon ? Je peux parler à Valentine. — Ah non, là ça ne va pas être vraiment possible. Mais on se voit demain. — Ah oui ? — Oui. Et ne t’en fais pas, ton évaluation se présente sous les meilleurs auspices. Il raccroche. J’ai cru les entendre rire. Et merde ! Je finis par m’endormir. Valentine n’est pas rentrée de la nuit. Quand je pars au boulot elle n’est pas encore là. J’arrive au travail. Franck est dans son bureau ; je pose mes affaires à frappe à sa porte. Il me fait poireauter, comme toujours, puis lève la tête et me fait signe d’entrer. — Ah, Mat, comment va ? — Euh, bien bien et vous ? — Très très bien. — Je ne vous dérange pas ? — Si mais vas-y, dis-moi ? — C’est pour l’évaluation. — Ah oui, non, on ne la fait pas, c’est bon, pas besoin, regarde tes mails, je t’ai écrit. — Je ne comprends pas. Je le regarde. — Va dans ton bureau, regarde tes mails, tu verras, tout est arrangé. — Bien. D’accord. Je quitte son bureau. Je m’installe au mien, ouvre la boîte mail, fais le tri, et ouvre le sien. Il y a mon évaluation signée par lui, tout est super, mon augmentation et la prime qui sont énormes. Je suis aux anges. Je prends mon téléphone. — Oui ? — Oui, Franck, c’est Mat, alors, merci beaucoup, vraiment, c’est très très généreux. — Oui c’est vrai. — Enfin, donc, euh, merci vraiment. — Ok ; viens dans mon bureau Mat ...