1. Les chroniques : Après la Bretagne, toujours de la baise, de l'aide et du hasch !!


    Datte: 05/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Nature et découvert, Source: Hds

    ... vision sur la toison taillée en ticket de métro de Gigi- cette dernière m’encouragea dans un sourire ironique à me remettre allongé sur le ventre afin de ne pas choquer les invitées. Patricia ne put s’empêcher de souligner qu’elle n’avait jamais vu d’homme intégralement épilé, même si dans les piscines, plusieurs se rasaient le corps. « Mais le sexe, souligna-t-elle, c’est nouveau pour moi ». Christelle n’en revenait pas et confirmait que ce n’était pas ordinaire. Domi, sans être adepte pour elle-même de l’épilation intégrale, crut bon de préciser comme pour rappeler nos liens privilégiés, qu’elle m’avait connu soucieux de tailler mon pubis a minima, des années auparavant, et que je poussais le soin à débarrasser mes bourses et mon sillon fessier du moindre poil également. Cet exposé fit sourire Pussy et Gigi confirma d’un hochement de tête, ce qui agita de façon très excitante ses seins, plus petits que ceux de Pussy ou Domi, mais qui semblaient avoir été créés pour être empaumés, pelotés et dévorés.
    
    Ainsi, je me remis sur le ventre, entouré de cinq délicieuses créatures dénudées et je m’efforçai de rester zen. La cassette de Depeche Mode terminée, il fallut pourtant la remplacer, mais comme je m’ étais assoupi, c’est Pussy qui se chargea de mettre le vieux « Vienna » d’Ultravox. Dans mon demi-sommeil, j’avais abandonné toute velléité de matage sur les corps quasiment nus des cinq femelles qui m’entouraient, dont trois que je connaissais intimement. En revanche, je ...
    ... contrôlais mal mes pensées et mes songes, et des flashs se mêlaient à ma perception du présent, le tout enveloppé dans ce qui semblait être un retour enfumé dans mes méninges, une sorte de réplique des nombreux pétards ingurgités la veille. Toujours est-il que durant environ un quart d’heure, après m’être retourné sur le dos, j’avais offert sans m’en rendre compte mon corps nu et mon sexe dressé aux yeux de mon harem de circonstance. C’est en émergeant de mon état comateux que je pris conscience de la situation et cela ne fit qu’augmenter mon trouble. Dur et tendu comme on peut l’être au réveil, excité par la présence très proche de corps féminins dénudés, je bandais sans vergogne. Domi, qui me connaissait très bien, pris sur elle de déclencher ce qui allait suivre et qui était très osé pour Patricia et Christelle. Elle effleura ma verge du dos de sa main, ce qui la fit tressaillir. En forme comme je l’étais, l’extrémité de mon sexe atteignait mon nombril et sans être hors-norme mais renforcé par mon absence de pilosité, cela impressionnait mes amies. Sans ouvrir les yeux, ayant de plus mis mon bras gauche devant mon visage pour me protéger du soleil, je finis par poser ma main droite sur ma bite. Puis lentement, j’enserrai mon engin. Je tirai délicatement vers le bas pour décalotter mon gland puis je redressai ma verge vers le ciel, fièrement, comme pour subjuguer mes spectatrices. Le « mmmmm » de Domi et un doux encouragement de mon épouse eurent raison de mes dernières pudeurs ; ...
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