1. Lesbienne, ma femme ?


    Datte: 28/02/2021, Catégories: ff, voisins, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, Lesbienne Auteur: Veilleur, Source: Revebebe

    ... bouge révélant l’agitation d’un majeur sur le clitoris attaqué. Ça bout, ça remue, mais dans le calme. Personne ne peut les déranger à cette heure, elles prennent tout leur temps, le temps de s’aimer, si bon, si savoureux.
    
    Ma femme gémit, secouée par un gros frisson. Alors elle accentue les pressions de ses doigts sur les deux seins prisonniers de ses mains, les bouches aspirent un grand bol d’air et se reprennent. J’ai vu la tête de la partenaire au moment où elle reprenait sa respiration, tout occupée à fouiller la culotte de Louise. Ce n’est pas une habitante de la lune, ni une fille d’une cité lointaine engagée dans un voyage aussi rare qu’éphémère. Non, c’est une voisine, Nora la blonde, de même âge que Louise, veuve depuis trois mois environ ; une conquête ou conquérante proche, qui habite à deux pas et qui peut donc être disponible à tout moment, capable d ‘assurer un service amoureux permanent à toute heure du jour, pendant que je suis au travail.
    
    Je ne savais pas Louise si liée à Nora. Liée est le bon mot. Elles ont pivoté sur les genoux, Nora est passée derrière Louise, colle sa poitrine et son ventre au dos de ma grande brune, passe ses mains sous ses bras, à son tour attaque le soutien-gorge et simultanément dépose des bisous-chatouilles sous les boucles de cheveux, sur la nuque, sur les épaules, sur une clavicule, sur un bras. Louise ferme les yeux, savoure ces attouchements légers et se trémousse. Et je vois apparaître ses deux seins adorables car d’un ...
    ... geste prompt Nora a relevé le cache au-dessus des deux globes. Entre index et majeurs, elle pince les tétons durcis de ma femme.
    
    Pris dans cette tenaille mobile les tétons prennent de l’ampleur et quand, du plat de trois doigts humectés dans la bouche de Louise, Nora se met à frotter gentiment ces tétons érigés, ma femme ne peut retenir une longue plainte de plaisir. Elle s’écroule sur le drap, emmène l’amie dans sa chute, réussit une vrille et reçoit Nora sur son ventre pour un baiser interminable. Ses cuisses écartées accueillent les jambes de la veuve. Bouches unies, regards figés, elles laissent libre cours aux explorations des mains. Louise libère les seins majestueux de l’étoffe et ils viennent écraser les siens, s’y frotter. Plus bas, le bassin de Nora cherche une place entre les hanches de Louise. Sa jambe droite amorce un mouvement en direction du bas-ventre de la brune. Le genou arrive à destination et exerce une pression dans l’entre deux jambes, pousse sur le pubis exposé mais encore revêtu de sa parure de dentelle. Les bouches se quittent, Nora cherche dans les yeux de son amoureuse une manifestation du plaisir ressenti pendant que sa jambe frotte le sexe assailli en un lent va-et-vient appuyé.
    
    « Je t’aime », murmure l’une. « Je t’aime », répond l’autre et recommence l’avalanche de baiser légers entrecoupés de tendres déclarations mille fois redites. Mais après ce viatique Nora dresse le haut de son corps sur ses bras et descend pour poser sa bouche sur le ...
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