1. La Chambre d'hôtel


    Datte: 27/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bynath941, Source: Literotica

    ... doucement, je ressens un effet magnétique, qui les attire et qui m'indique que je peux commencer.
    
    Je glisse mes doigts à l'embase de tes cheveux et j'appuies doucement, par petites touches, je progresse lentement vers le lobe des oreilles et je décris avec l'index et le majeur de petits cercles concentriques, appui léger. Je glisse le long des lobes et insiste sur les tempes, partant des yeux, j'exécute un mouvement de chenille avec la deuxième phalanges de mes pouces, je sens ton souffle plus court, signe d'un bien être.
    
    Je remonte vers le front et place mes majeurs et annulaires au centre de ton front, je garde une petite pression, quelques instants, puis je décris des mouvements de volutes au dessus des sourcils.
    
    Ta poitrine se gonfle, tu sembles détendu.
    
    Je commence à t'expliquer doucement la suite des évènements, tout en plongeant ma main gauche à nouveau dans le sac.
    
    Je t'annonce que comme les anglo-saxons le nomme, nous utiliserons cet après midi un Duress Word, il s'agit d'un mot que tu utiliseras pour signifier que le jeu te déplait, et il cessera aussitôt. Ce mot sera « SAPHIR ». Je te prends ton visage en l'entourant de mes mains, te caressant les cheveux, et je te recouvre les yeux délicatement de lunettes occultants de feutre noir. Je te rassure en déposant de petits baisers appuyés à la commissure de tes lèvres, me retirant dès que j'aperçois les tiennes s'entrouvrir.
    
    Je me place à présent devant toi, je te caresse les avant bras nus, te les ...
    ... fais reposer, paumes vers le plafond appuyés sur les bras du fauteuil.
    
    Je récupère deux foulards dans mon sac, que j'ai à présent à mes pieds.
    
    Je te lies les poignets, sans trop serrer aux accoudoirs massifs, qui se confond avec ton teint de peau bronzé.
    
    Je peux, distinguer ta poitrine se soulever, signe d'une pointe d'excitation.
    
    J'enlève la ceinture de ma robe, que je jette négligemment sur ma gauche, puis je défais les boutons et la laisse glisser à mes pieds,. Je ne garde que mes dessous blancs soulignés de dentelles.
    
    Mes sens de l'ouie et de l'odorat décuplés par la privation de ma vue, je me retrouve totalement vulnérable à toi.
    
    - Je ne comprends pas quel est l'intéret si je ne peux pas te voir? s'exprimai-je.
    
    - Laisse toi faire... tu verras bien! me répondis-tu.
    
    Soudain, quelque chose me frappa. Ton doux et suave parfum, vint jusqu'à mes narines. Un parfum sucré. Puis, je sentis à nouveau tes lèvres pulpeuses sur les miennes et comme à chaque fois sans que je n'ai le temps de réagir, tu avais déjà retiré tes lèvres. Je commençais à prendre goût de ce petit jeu.
    
    Je sentis les boutons de ma chemise que tu étais en train de déboutonner. Puis, j'entendis ton petit gémissement lorsque tu découvris mon torse musclé. Un petit sourire me vint aux lèvres pendant que je me redressais. Tu me plaqua contre le dossier du fauteuil, comme pour me faire oublier ce gémissement trahissant de ta part.
    
    Tu m'expliquas le déroulement du jeu érotique auquel nous ...