Soumission de Ma belle-mère Semaine 2 Dimanche - Histoires de Sexe

Soumission de Ma belle-mère Semaine 2 Dimanche

... une dépression nerveuse grave et l'apparition d’un syndrome bipolaire. Il t’a prescrit des médicaments pour deux semaines.

Fx : Et quand est-ce que vous alliez me le dire.

Michèle : Natacha n'a pas voulu te le dire.

Fx :. Tu te tais et ne lui dis rien. N'est ce pas esclave ?

Michèle : Bien sûr Maître.

On rentre dans la salle à manger.

Je me sers après que tout le monde se soit servi, et commence à manger, Natacha me sert une tasse de café que je refuse et me sers du jus de fruit. Elle ne dit rien mais je la sentais très énervée. Quand le repas fut terminé, Sylvie prend la parole.

Sylvie : Comme la règle est la franchise totale entre tous, je voudrais vous raconter ce que j'ai omis de dire. Il y a 25 ans, j’avais 23 ans. J’ai fait la connaissance d'un jeune homme de 5 ans plus jeune que moi. En l’espace de quelques jours nous sommes tombés amoureux l’un de l’autre. Et pas seulement ça, notre vie sexuelle était folle. Il a su m’inspecter le corps dans son intégralité, de découvrir tous les points sensibles, de me baiser dans toutes les positions. On a baisé dans les trains quand on partait en vacances. Comme souvent nous n’avions pas la possibilité de trouver un endroit où baiser, il me rejoignait à l'hôpital quand j’avais une garde de nuit et on baisait soit dans chambres de travail soit dans les salles d'accouchement. Quand il me sodomisait, c’était la plus belle et la plus douce des caresses, il ne m’a jamais fait mal. Il avait ce qu'il appelait les ...

... sources secrètes qu'il lui suffisait de toucher et de caresser pour que mes orgasmes éclatent sans interruption

Muriel : Tu nous racontes des histoires, ça ne peut pas être vrai.

Sylvie sans répondre vient vers moi, s’assied sur mes genoux et approche son oreille de ma bouche. Elle garde le silence. Je commence à lui embrasser, lécher et sucer son oreille. A peine une minute plus tard de ce procédé, elle jouit en hurlant et sautant. Je la retourne un peu et recommence avec ses seins et ses tétons, là aussi deux minutes plus tard, elle jouit encore plus fort. Toutes se mirent à applaudir.

Muriel : Donc Xavier était ton petit ami ?

Sylvie après être retournée à sa place : Je l’appelai Fox et il m'appelait Madou. Nos orgasmes surtout les miens étaient ininterrompus, et je ne pouvais pas m’empêcher de rester avec lui et de profiter de ses capacités orgasmiques. Après cinq ans, j’ai décidé de le quitter et de disparaître. Sans l'informer, je démissionne de mon poste me faisait embaucher par un hôpital en province. Je le quitte sans même laisser un mot explicatif. A peine arrivée dans mon nouveau poste, je rencontre un homme et un mois plus tard on était marié, et nous le sommes encore.

Natacha : Mais je n’ai pas compris la raison qui t'a poussé à le quitter si brutalement. Il ne t’a rien fait de mal d'après ce que tu as dit.

Sylvie : J’étais devenue son esclave parfaite en toutes choses surtout dans le domaine sexuel. Et puis surtout j'avais une peur de notre ...