Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 3
Datte: 26/02/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Itacoatiara, Source: Hds
... envie d'elle. "Non, on nous attend et c'est moi qui décide! En plus, tu n'as pas fermé les yeux!!!" Gonflée la nana!
Nous remontons ensemble, nos amis nous questionnent, même si nous avions le pretexte de la sortie sur la terrasse? Un jeu de leur part.
Je répond "Sandrine avait très envie de se faire baiser, fallait que je fasse quelque chose."
Elle répond "C'est dommages, je n'ai absolument rien senti!"
Tout le monde se marre et reprend sa discussion, visiblement, la meilleure défense est l'attaque, et notre accouplement semble improbable pour notre entourage.
La fin de soirée se termine gentiment, je ramène Sandrine chez elle sans trop d'espoir et me dit que je finirais tout seul dans mon lit avec ma main gauche...
Blasé, je lui demande si elle veut que je monte chez elle. Elle me répond "ce serait pas mal, on pourra discuter...". Dépité, je suis...
Comme d'habitude, rituel, je monte, je m'attends à des préliminaires tout au plus, s’il y en a.
Je m'assieds sur le canapé, elle me regarde droit dans les yeux, et avec une voix faussement assurée: "j'espère que tu n'es pas fatigué".
Moi, joueur et espérant aller plus loin "Euh, jusqu'à présent, ça n'a pas été ce que j'appelle les 12 travaux d'hercule à m'occuper de ton cul".
Elle est piquée au vif, je préfère battre en retraite.
Elle se rapproche toujours en me fixant, et me dit "je ne t'avais pas offert ton cadeau de Noël" et juste après, tire sur le noeud de son voile de tulle, qui laisse ...
... apparaitre ses seins magnifiques.
Bon, le tulle n'est pas tombé nickel comme dans les films, mais en l'espèce, même si c'était un peu gauche, ça m'allait très bien et j'étais de toute façon en plein rêve.
Je vis enfin ses magnifiques gros seins laiteux, sur ce corps frêle.
Elle fit ensuite tomber sa jupe, il ne restait plus que ses bas et des escarpins un peu sages.
Bien que la lumière fut tamisée, je la voyais enfin clairement nue devant moi.
Elle me demande alors de mettre mes mains en l'air. Elle s'approche de moi et me dit "Tu l'as bien compris, c'est moi qui choisis, tu es là pour moi et tu ne touches pas!".
De mon côté, heum, bon, OK, mais pas trop non plus, mais je n'allais pas lui dire, l'occasion faisant le larron.
Avec le tulle qui était finalement assez long, elle m'entoure les poignés et les attaches plus ou moins sur le montant du canapé.
Une attache plus symbolique qu'autre chose.
Elle ouvre ensuite mon pantalon et sort mon sexe qu'elle caresse, jusqu'à ce qu'elle obtienne une belle érection. Pas dur en même temps.
Je me dandine sous sa main plus ou moins experte, n'attendant rien de plus, j'espère jouir ainsi sachant que les autres options sont interdites par notre contrat immoral.
Elle me caresse, accélère, puis, quand elle voit que je suis sur le point de jouir, s'arrête en rigolant de me voir dépité.je lui supplie de me laisser jouir avec ses mains ou sa bouche, peu importe, il faut que je jouisse.
Elle s'arrête à nouveau, ...