Histoires de candaulisme (2)
Datte: 25/02/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
... bruits de l'amour envahirent l'appartement : claquements de peaux, clapots de sexes, halètements, gémissements, mots crus parfois car Karine n'avait pas la baise discrète.
Surexcitée, Gaëlle laissa le glorieux pénis sortir de sa bouche baveuse, fit passer sa mini robe par dessus sa tête, fit glisser son string le long de ses cuisses, se déchaussa, ôta le débardeur de Célestin, le coiffa d'un préservatif qui, fort heureusement, était prévu pour une grande taille (prévoyant, les maris), coucha son amant sur le lit, se positionna au-dessus de lui, saisit le dard d'une main, le guida vers son antre, et s'empala lentement. Le gland d'abord puis la hampe à moitié et enfin en entier. Une félicité inouïe l'envahit. Jamais elle ne s'était sentie aussi bien "occupée". Les yeux dans ceux de Célestin et surtout sur son torse de gladiateur, elle fit évoluer ses hanches de telle sorte que le pénis puisse la visiter progressivement puis de plus en plus massivement. Une fois qu'elle eut trouvé sa cadence, ses gueulantes de plaisir rejoignirent celles de Karine qui, de son côté, se trouvait allongée sur le canapé, un pied sur le dossier, l'autre dans les reins de Barnabé qui la besognait vraiment dur. Lui aussi était totalement englouti dans l'antre de cette belle brune qui lui souriait entre deux cris de plaisir.
Et les maris dans tout ça ? La baise de leurs femmes était déjà bien engagée lorsqu'ils entrèrent subrepticement dans l'appartement ouvert. Sébastien découvrit le petit cul ...
... blanc de Gaëlle en train d'écraser les couilles de Célestin en tressautant sur lui, les pieds sur le lit. Elle se levait haut et se laissait tomber sur lui en piaulant. Il n'aurait jamais cru qu'elle puisse "absorber" une queue d'une telle dimension et qu'elle y trouve non de la douleur mais de la jubilation. Comme quoi on ne connait jamais parfaitement le vagin de sa femme.
Quant à Serge, la position de Karine, pliée en porte-feuille par Barnabé, lui donna aussi à penser. Certes, sa femme pratiquait régulièrement de la gymnastique mais il ne la croyait pas aussi souple qu'elle puisse mettre ses pieds au ras des oreilles de son baiseur, lequel la fouillait comme s'il voulait atteindre sa gorge. Ce qui le fascina fut à la fois l'agitation de ses orteils mais aussi les mouvements de ses mains, dont les ongles carminés se plantaient dans les fesses brunes de l'Antillais, comme pour maintenir la pression. Son extase se manifestait aussi dans sa bouche, non seulement par des exclamations mais aussi par des mots à la limite de l'obscène où il était question de bite, de chatte, de cul, de couilles, une expression que Serge n'avait pas l'habitude d'entendre lorsqu'il lui faisait l'amour le dimanche matin. Gaëlle n'était pas en reste, poussant ainsi très loin le mimétisme avec son amie. Sébastien ressentit un petit coup au coeur lorsqu'il entendit sa femme s'exclamer : "Ah qu'elle est boooonne, ta biiiiiiite". Cela, lui non plus ne l'avait jamais entendu.
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