1. Mariage maudit


    Datte: 24/02/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, alliance, toilettes, hsoumis, fdomine, Masturbation nopéné, Auteur: M.D., Source: Revebebe

    ... posséder une force physique élevée pour une femme de son âge.
    
    Ils se regardent, ils brûlent des yeux. Le bleu éclair de Madame Verneuil est insoutenable. Pour Yohan : la gaule immense, la trique de tous les diables.
    
    Madame Verneuil pose délicatement ses deux mains sur ses seins et entame une caresse langoureuse. Yohan reste fixé sur ce décolleté qui le rend cinglé et sur le mouvement de ces mains qui pétrissent, qui malaxent les deux globes fermes. Madame Verneuil mord sa lèvre et regarde toujours avec autant d’ardeur son gendre.
    
    Le spectacle est inouï. Une femme plantureuse, la mère de Julie, le jour de son mariage, se fait une caresse aussi brûlante que les flammes de l’Enfer devant lui. Elle dit d’une voix chaude et sèche :
    
    — Masturbe-toi.
    
    Il ne se le fait pas dire deux fois. Un mouvement de braguette et sa verge, énorme, tendue devant lui. Il la prend de sa main moite et tremblante et commence le va-et-vient affolé devant elle, elle qui se caresse comme une déesse ses seins somptueux. Elle, se délectant de la domination qu’elle exerçait sur lui, pauvre gendre démuni et sans défenses. Un sourire cruel, toujours l’œil fixé sur lui. Ça le fait bander encore plus, et ça la fait mouiller encore plus. Soudain, elle pose brutalement son pied sur le bord de la cuvette, à trois centimètres des bourses de Yohan, qui sursaute. Il peut ainsi voir le galbe de sa jambe, sa jupe prête à craquer.
    
    — Il bande, l’animal, mais c’est qu’il bande ! murmure-t-elle ...
    ... doucement.
    
    Elle ôte son veston, faisant apparaître un soutien-gorge noir soutenant deux seins volumineux et ronds comme des pastèques. Le délire. Elle reste là, devant lui, immobile, avant de retirer le soutien-gorge. Deux aréoles brunes, sombres, deux tétons érigés droit vers lui. Elle reprend ses attouchements. Puis, elle s’agenouille, jouant de la salope, les yeux troubles, la langue qui passe et repasse sur toutes ses lèvres, les gémissements lubriques, les mains qui deviennent incontrôlables, prenant de toute leur surface le volume de la chair blanche et laiteuse de ses seins, les comprimant sur son torse, entre eux, les relevant, les redescendant, dans une danse endiablée et délirante. Yohan tend sa main libre vers elle, il veut les toucher lui aussi. Mais il reçoit une petite claque juste avant, lui interdisant de la toucher. Il a un mouvement de surprise et Madame Verneuil éclate de rire devant son expression désemparé. C’est elle qui mène la danse. Et pas lui.
    
    Mais Yohan monte, monte, monte. Fébrilement, il prend un morceau de papier toilette et le pose sur le bout de son gland, prêt à exploser comme jamais. Il se penche vers elle, le bout du sexe à quelques centimètres du creux de ses seins. Il secoue maintenant comme un forcené, ça monte, ça monte, ça monte. Il sait qu’il va crier, qu’il ne va pas réussir à s’en empêcher. Il agrippe alors le rouleau de papier toilette en entier et se le fourre dans la bouche.
    
    Dans un dernier coup de langue habile de Madame Verneuil, ...