Annie, nympho et je ne me soigne pas. (1)
Datte: 04/05/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: tomy83, Source: Xstory
Je suis seule dans mon petit appartement près de Toulon. Je suis et je vis nue... Chez moi. Oui, car mon physique ne me permet pas de jouer les bimbos sur les plages que je fréquente le soir. J’ai 35 ans, je suis rousse, petite (1m50), des formes (56 kilos), une poitrine qui attire les regards (100E), des yeux verts en amande, une bouche pulpeuse et un petit nez en trompette. Je m’habille sexy, mais pas vulgaire. Mon appartement se situe au dernier étage, face au mont Faron (bien connu des Toulonnais). Il est petit, mais fonctionnel. Le seul défaut que l’on peut lui trouver, ce sont les bruits de trains. La gare est à 500 mètres.
Je viens de finir ma séance de sport. En fait, je viens de finir de me faire prendre par Maurice. Non, Maurice n’est pas un voisin, c’est mon gode ventouse et il me sert chaque fois que l’envie me vient. Vais-je vous présenter Maurice ? Que dire sur lui. 25 centimètres pour 7 centimètres de large. Il me comble sans poser de questions, sans me prendre la tête. Les hommes que je rencontre sont insipides, sans grand intérêt. Bref, je suis bien toute seule et je compte bien le rester.
J’ai des amies féminines, celles que je fréquente pour des raisons professionnelles. Je suis caissière au "E. LECLERC" de Saint Jean du Var et d’ailleurs, il faut que je me magne, je commence à 10 h 00.
— Salut, Annie, comment vas-tu ?
C’est Sophie, une grande pimbêche de 20 ans. Gentille, mais elle me colle un peu trop à mon goût. Et blablabla, et patati et ...
... patata. Je lui souris en mettant mon sac à main et mon manteau dans mon casier. J’enfile ma blouse et la laisse finir la discussion toute seule. Je rejoins ma caisse. Elsa, une étudiante timide, mais sympathique, la caissière que je remplace, me sourit et pouffe quand elle voit Sophie s’installer face à moi.
— Merde, me dis-je, je vais me coltiner la Sophie. Elle a la caisse 3, moi la 4. Merde de merde.
Je commence à scanner des articles, c’est Madame Quiquenpoid, une vieille habituée. Heureusement, Sophie fait la même chose que moi et elle est débordée. Ouf, je respire et me concentre sur mon tapis. Les articles s’enchaînent, les paiements aussi. Véro, la chef caissière vient prendre ma place pour ma pose. Déjà deux heures ? Il est 12 h 30.
— Vas-y, elle est pénible, non ?
— Pour l’instant ça va.
Je sors sur le trottoir pour m’allumer une clope. Je sais, ce n’est pas bien, mais bon. Il fait beau en ce début juillet et chaud. Après ma cigarette, je passe vite fait aux toilettes et rejoins ma caisse. Ma chef me laisse et va remplacer la Sophie. Elle est toute rouge. Je me concentre sur ma tâche.
Arrive un jeune homme. Grand, maigre et pas très beau. Il doit avoir la vingtaine, voire plus jeune. Il choisit ma caisse. Pourquoi ? Je n’en sais rien. Il me sourit, je le lui rends poliment. Il est chargé comme un baudet. Il est vêtu d’un simple tee-shirt trop grand pour lui et d’un short long. Il a bloqué sur ma poitrine.
— Je fais les courses pour mes vieilles ...