1. Paris, puis Londres


    Datte: 22/02/2021, Catégories: fh, couple, hotel, Collègues / Travail amour, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Damien X, Source: Revebebe

    ... éclat. Elle recroisa les jambes dans l’autre sens, très haut, en faisant crisser son collant. Ma tension fit un bon. Enfoncé dans le canapé en face d’elle, je venais d’apercevoir des dentelles et un bout de peau blanche tout en haut de ses cuisses. Elle ne portait pas un collant, mais des bas.
    
    Je vis qu’elle regardait ma réaction d’un œil amusé. Elle m’avait allumé intentionnellement. Je me suis levé comme un ressort qui sort de sa boîte. Elle me tendit les bras. Ma bouche s’écrasa sur la sienne. Nous nous dévorâmes pendant un long moment, mélangeant nos salives, enroulant nos langues, échangeant des regards d’amour. Ma main libre, celle qui n’était pas dans ses cheveux pour lui caresser la tête, s’insinua sous sa robe pour lui retirer sa culotte. Pas facile. Elle m’aida en soulevant son bassin. Je pus faire glisser le long de ses cuisses un minuscule triangle orné de dentelle qui, dans ma précipitation, s’accrocha à ses bottes. L’élastique ne résista pas mais la voie était libre. Abandonnant ses lèvres, je descendis le long de son ventre, troussant sa robe. Comprenant ce que j’allais faire, elle s’enfonça dans le fauteuil et posa sans complexe un genou sur chaque accoudoir. Mon cœur se mit à battre la chamade. Au fond du compas de ses longues jambes chaussées de bottes et gainées de bas, sa chatte dorée attendait que je la dévore. Ma tête plongea entre ses cuisses.
    
    Un délice !
    
    Je retrouvais son odeur suave et le petit grain de beauté qu’elle avait sur sa lèvre ...
    ... intime. J’écartais à petits coups de lèche ses chairs délicates, lui arrachant de petits gémissements. La première intrusion de ma langue dans son vagin trempé lui déclencha un spasme.
    
    — Pourquoi Chris ne me fait jamais ça ? gémit-elle. C’est trop bon.
    
    Son sexe palpitait, son ventre se creusait, son corps se tortillait de plus en plus sous mes coups de langue. De petits flots de liqueur intime se mélangeaient à ma salive. À un moment, ses mains se posèrent sur ma tête et plaquèrent ma bouche sur son clitoris tout gonflé.
    
    — Oh, oui, là… Là… Oui ! Fais-moi jouir ! me supplia-t-elle.
    
    Une invitation à ne plus quitter cette perle magique. Je me suis appliqué à la faire rouler sous ma langue, à l’aspirer dans ma bouche avec voracité pour en faire une vraie petite tige. Sa respiration s’accéléra, elle se mit à geindre en continu.
    
    — Oh, yes… Yes… Oh, my God !
    
    Elle allait jouir. J’ai balayé son bouton à toute vitesse du bout de ma langue. Elle poussa un grand cri et tout son corps se cabra dans le fauteuil. J’ai continué tant bien que mal jusqu’au dernier spasme. Quand je me suis redressé pour venir lui donner un baiser tout mouillé de sa cyprine, elle avait encore le regard dans le vague.
    
    Quelques instants plus tard, ayant repris ses esprits, elle s’attaqua à mon pantalon.
    
    — Tu veux que je te fasse une pipe ? me proposa-t-elle. Tu vas voir : à force, je suis devenue une pro.
    — Non. J’ai trop envie d’être en toi.
    — Alors prends-moi, mon amour. Prends-moi dans ce ...
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