Juste une fois... (Trouvée sur le WEB)
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
Première fois
Auteur: Catherinecouple, Source: xHamster
... accroc », on aurait pu croire qu’il ne s’était effectivement rien passé. Tout allait normalement.
Au lit aussi ça allait à peu près comme avant.
Sauf qu’à chaque fois que j’embrassais Lison, je ne pouvais m’empêcher de penser que ces lèvres avaient été embrassées par un autre que moi. A chaque fois que je la pénétrai, me venait à l’esprit l’image d’un sexe étranger s’immisçant dans ce trésor que j’avais jusqu’à présent considéré comme ma chasse gardée, ma propriété.
Et à chaque envolée fantastique, je réalisais ce que le vieux pervers avait eu sous les yeux : Ce corps magnifique tendu comme un arc, ces petits seins tressautant frénétiquement, cette gorge offerte et ce visage adorable exprimant sa jouissance.
Et tout ça me perturbait profondément.
J’en suis même arrivé à connaître des troubles de l’érection.
Non pas que cela me dégoûtât, non, j’avais toujours autant envie de ma femme, je désirais toujours autant lui faire l’amour et la voir jouir mais plus ça allait plus ce qui c’était passé lors de cette nuit en Bourgogne me prenait la tête et moins j’arrivais à en faire abstraction.
Alors que Lison misait sur le temps pour effacer les blessures, c’était le contraire qui se produisait : Ca en devenait presque une obsession.
Pourtant ma chérie y mettait du sien. Elle redoublait d’attentions câlines et d’inventivité sexuelle pour me prouver que j’étais bien resté l’homme de sa vie.
Elle m’avait même offert, pour la première fois, l’accès à sa petite ...
... rondelle.
Mais la défloration anale de mon épouse n’y changea rien.
Il n’y a rien de pire que l’incertitude, car vous échafaudez des hypothèses qui vont sans doute au-delà de la réalité. Mais en l’absence de preuves contraires, vous ne pouvez pas les réfuter.
C’est ce que j’ai fini par faire comprendre à Lison : Que j’avais besoin de savoir ce qu’il s’était passé, dans les détails, pour pouvoir commencer ma phase d’oubli. Qu’il ne fallait pas qu’elle m’épargne ni qu’elle me cache des choses car je le sentirais et ça ferait échouer cette étrange mais nécessaire thérapie.
« – D’accord » avait-elle admit en soupirant « Si c’est ce que tu veux. »
Nous étions allongés l’un à côté de l’autre, dans notre lit, dans le noir, comme si l’obscurité rendait les aveux plus faciles.
« – Qu’est-ce que tu veux savoir ? »
« – Tout. »
« – C’est trop vague, tout. Je ne peux pas te raconter une nuit entière comme ça… Pose-moi des questions. »
« – Pourquoi, comment, combien de temps, combien de fois, dans quelles positions… tout, quoi ! »
« – Le pourquoi, je te l’ai déjà dit : Je n’en sais rien. C’est arrivé, c’est comme ça. Je ne peux même pas dire que j’étais insatisfaite, ce n’est pas vrai : Tu me satisfais pleinement. »
« – Alors passe directement au comment. Tiens, déjà un détail : Lumière éteinte ou allumée ? »
« – Allumée. J’ai voulu éteindre mais il a dit qu’il voulait me voir. »
« – Tu m’étonnes ! Ca devait faire un bout de temps qu’il n’avait pas eu ...