Les bonheurs de Sophie (4)
Datte: 21/02/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Modianorouge, Source: Hds
... Mais… Ôôooohhh Monsieur, je vous en supplie !!! »
Oui, elle supplie.
- Sophie ne me déçoit pas ! Je vais finir par croire que tu ne mérites décidemment pas la peine que je me donne. Et tu sais ce qu’il va se passer si je prends la décision irrévocable de ne plus m’occuper de toi ? Je te propose un deal que tu ne peux pas refuser et toi tu tergiverses encore ! Tiens, je suis si gentille, que vais t’aider à prendre la bonne décision. Donne-moi tes menottes… »
Phil attrape avec sa main gauche les deux poignets si fins de la jeune fille, elle rechigne mais par crainte des représailles, n’ose pas se rebeller franchement. A-t-on jamais vu un poids mouche défier un super lourd ? Si bien qu’il peut, en déplaçant légèrement les bras de sa proie, dégager l’accès à la chatte.
Elle se contracte.
« Chuuut Sophie, détends-toi, je te jure que tu vas adorer ça. Ce n’est pas possible autrement. Làààà, voilà comme ça… »
Et après l’avoir mis en marche au niveau de vibration le plus bas, il appuie prudemment l’embout hérissé contre le tissu trempé. Milles petites pattes s’activent en des massages diaboliques. Sophie a bien évidement un mouvement de recul, mais il accompagne la dérobade du bassin, elle ne peut échapper aux ondes qui insidieusement traversent la culotte pour pénétrer sa vulve. Elle pousse un cri, se trémousse, il ne la lâche pas, la boule vibrante épouse le relief du con, le coton imbibé de pisse s’est plaqué contre le mont de vénus et, avec la pression exercée, ...
... le tissu moule si bien le fil des lèvres que Phil identifie aisément l’emplacement précis du clitoris. L’adorable se débat, pour échapper à la torture masturbatoire elle balance ses hanches, ses mignons nichons tanguent en rythme, les pointes semblent donner le tempo ; phil comme un cavalier de rodéo montant une pouliche sauvage, la ferre un peu plus solidement d’une main, en enserrant ses poignets, et de l’autre, avec son engin diabolique, il ralentit, augmente, module l’intensité vibratoire, alors que les cercles concentriques autour du cœur de cible se font toujours plus précis. Maintenant, elle rue, ses lèvres se tordent en une grimace obscène, entre ses dents serrées jaillissent des miaulements aigus. Elle est incroyablement sensible. En trois minutes, elle atteint le seuil ultime… elle devrait être engloutie par l’orgasme… mais un barrage, un conditionnement, retient la vague déferlante. Le corps est bien traversé par des spasmes orgasmiques et pourtant, elle ne bascule pas, car si la chair est débordée, l’esprit lui résiste à la submersion, stagne aux franges de l’explosion et, pour compenser ce différé d’une libération qui se refuse, les nerfs frustrés se tendent inexorablement. Phil sent bien qu’au lieu de lâcher complètement prise, elle va se crisper de plus en plus. Inutile de s’acharner, ce serait contre jouissif pour elle. L’orgasme fuirait encore plus loin, irait se terrer dans les recoins inaccessibles de l’inconscient où il serait encore plus ardu à déloger… ...