La rousse et la vieille dame
Datte: 20/02/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
fplusag,
hagé,
frousses,
extracon,
inconnu,
train,
collection,
noculotte,
pénétratio,
Humour
occasion,
Auteur: Alex, Source: Revebebe
... ma braguette et s’y insérer, désirant, je le suppose, mieux palper mes attributs. Manquant de place pour bien y faire, elle extirpe ma queue de mon slip, la sort de mon pantalon et se la plaque contre les fesses, peau contre peau, ayant relevé sa jupe sans que je ne m’en rende compte. Je sens la chaleur de ses fesses tout contre ma queue. Elles bougent de façon à ce que l’objet de ses désirs aille doucement se caller entre elles. Ouf ! Il commence à faire vraiment chaud dans ce train !
Je suis dans un état tel que je vois bouger les lèvres de la vieille dame sans entendre ce qu’elle dit. Et penser qu’elle ne semble pas s’apercevoir de ce qui se passe à quelques centimètres d’elle me fait encore plus tourner la tête.
La queue maintenant bien insérée entre ses deux globes que je ne peux voir, n’ayant pas assez d’espace pour ce faire, elle bouge maintenant son petit cul de haut en bas, me fait une belle branlette qui va certainement me mener à lui arroser le dos d’ici quelques minutes si elle ne réduit pas le rythme. Reculant la tête vers la droite, de façon à ce que personne n’entende, la chevelure rousse me dit à l’oreille :
— Prends-moi s’il te plaît, baisse-toi un peu que je m’empale sur ta queue et laisse-toi faire, ne te retiens surtout pas, il ne nous reste pas beaucoup de temps.
Je fléchis donc, sans réfléchir un seul instant, les genoux et sens les fesses de la fille se soulever et s’écarter pour laisser ma queue glisser entre elles. Elle se penche un peu ...
... en avant puis recule sur moi, me guidant de sa main et m’introduisant d’un seul coup en elle. Elle mouille comme une fontaine et je m’y enfonce le plus profondément que notre position nous en laisse la possibilité. La fille commence alors à se dandiner doucement, me faisant passer par toutes les gammes d’émotions. Je sens mon gland se frotter contre les parois de son antre doux et tendre, ses fesses tantôt s’écraser contre moi, tantôt se retirer doucement pour revenir d’un coup sec s’empaler sur ma queue qui, à ce rythme, va bientôt exploser en elle.
Reprenant mes esprits le temps d’un instant, je me rends compte que je suis en train de baiser, en plein jour, dans un train bondé de gens, en direction de Paris, avec une femme dont je n’ai même pas vu le visage, et que je trouve cela génial. La fille bouge doucement de gauche à droite, de bas en haut et moi je sens le plaisir monter au rythme de ses déplacements tendres et doux.
Je ne sais même plus si la vieille dame continue à me parler, si elle a quitté ou si elle est encore là, car toute mon attention est maintenant concentrée sur mon plaisir et l’éjaculation qui s’annonce pour bientôt. Afin de bien faire sentir à ma chère complice que je vais bientôt jouir, je lui enserre la taille doucement, n’entravant d’aucune façon ses mouvements, trop divinement orchestrés avec les mouvements du train. Quelques instants plus tard, je sens une main prendre mon bras et des ongles s’y enfoncer. Elle est en train de jouir en silence. ...