1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : dans le souk.


    Datte: 19/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... commence à me limer, heureux de voir que je réponds à ses pénétrations puissantes :
    
    • Alors… Tu as déjà connu ça, tu aimes ma teub ?
    
    • Oui !
    
    • Tu en veux encore ?
    
    • Ho oui ! Baise-moi bien à fond, tape fort, c’est bon !
    
    Nos corps claquent l’un contre l’autre, il me possède avec ardeur et mon corps répond tout entier à chaque poussée.
    
    Soumise à ce rut effréné, je jouis avec une intensité affolante, perdant toute retenue, offrant ma croupe pour connaître encore et encore ce divin plaisir.
    
    Je ne peux plus me dominer, mes ongles griffent au sang mon partenaire, une plainte continue rythme chaque intromission de ce braquemard hors-norme.
    
    • Ouiiiiii ! A fond, ne t’arrêtes plus, prends-moi à fond, encore… encore !!!
    
    Mouloud me fore très consciencieusement, au moins quinze minutes avant de se vider en moi.
    
    Et la dose qu'’il envoie est proportionnelle à la grosseur de son chibre, j’ai la chatte complètement noyée et le jeu est si serré entre nos deux sexes qu’elle déborde à chaque fois que son bélier se renfonce en moi.
    
    Mon dominateur éjacule longuement, ravi de polluer généreusement une Européenne infidèle.
    
    Il reprend son souffle et se retire en m’informant :
    
    • T’es vraiment une bonne truie ! On va voir maintenant si tu es aussi chaude du fion !
    
    Je suis apeurée mais n’ose pas me rebeller.
    
    • Arrêtez les gars, vous allez l’estropier !
    
    • Toi, pour la dernière fois, tu mates et tu te tais ! Sinon, tu sors !
    
    Majid me retourne sur le ...
    ... ventre et, malgré mes protestations, se couche sur moi, pendant que Mouloud me tiens les bras. Il glisse sa bite qui a repris de la vigueur entre mes fesses et appuie fortement sur mon anus qu'’il a lubrifié avec une coulure de sperme de son acolyte et pousse un bon coup pour m’emmancher.
    
    Mais il s’emballe et ne peut résister bien longtemps avant de se répandre dans mes intestins.
    
    Juste au moment où je commençais à y prendre mon plaisir et lui faisait savoir en bougeant mon cul.
    
    Il se retire en me caressant tendrement mais Mouloud, excité par ce qu’il vient de voir, et un peu reposé, veut lui aussi tester le côté pile et je n’ai pas la force de le repousser. Il me retourne pour m’imposer une levrette.
    
    Il m’assène quelques claques sur la croupe, m’intimant l’ordre de me tenir tranquille.
    
    Il prend quand même le temps de m’enduire de gel puis, sans prendre aucun gant, il m’empale. Je hurle, pendant qu’il me défonce le cul sans ménagement. Je ne le croyais pas possible mais mon cul a absorbé sans coup-férir cette monstrueuse bite !
    
    J’ai le visage déformé par la douleur alors que, centimètre après centimètre, il me fore l’étroit conduit, jusqu’à ce que ses couilles claquent contre mon postérieur. Il m’a défoncée jusqu’à la moelle. Je pensais que le supplice ne durerait pas trop longtemps mais cet homme a une condition physique exceptionnelle.
    
    Le temps semble s’être arrêté : j’attends avec impatience qu'il se vide en moi mais il me prend encore et encore.
    
    J’hurle ...
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