1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : dans le souk.


    Datte: 19/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... fasses violer !
    
    • Tu exagères ! Je ne m’offre quand même pas au premier venu !
    
    Majid et Mouloud ont un restaurant dans le souk. Ils ont décidé ce jour-là de fermer exceptionnellement pour nous consacrer leur journée.
    
    Ils nous font entrer et nous reçoivent chaleureusement. L’un après l’autre, ils me prennent dans les bras, et sans aucune considération pour Philippe, prennent mes lèvres, alors que leurs mains sont ostensiblement posées sur mes fesses. Je sens contre moi leur érection. Ils sont manifestement impatients.
    
    Nous sommes introduits dans un salon, où ils nous servent un thé brûlant.
    
    • Nous fermons le restaurant aujourd’hui car nous voulons consacrer notre journée à cette jolie gazelle, expliqua Mouloud.
    
    • Depuis notre rencontre avec elle, avant-hier, on ne pense qu’à ça. Elle nous a rendus fous, on espérait bien qu’elle tiendrait parole, compléta Majid.
    
    • Ca se voyait l’autre fois qu’elle avait envie, mais elle voulait absolument que tu sois présent.
    
    • Maintenant qu’elle est là, elle est à nous, elle sera pas déçue et toi non plus, puisqu’il parait que t’aimes ça !
    
    Majid en profite pour me caresser et comme je ne réagis pas, Il passe sa main sous ma robe, repousse ma culotte et frotte son doigt sur ma vulve, en humant le fumet avant de le tendre à Mouloud:
    
    • Tiens, sens moi ça! Ca sent la femelle bien chaude !
    
    Mouloud respire bruyamment le doigt tendu en spéculant:
    
    • Ca renifle la salope en chaleur, et tu as vu ses seins? Ils sont ...
    ... petits mais semblent bien fermes.
    
    • C'est vrai, lâche Majid, ils ont l'ait superbes! Je peux les toucher, Philippe?
    
    • Elle est là pour ça. Allez-y !
    
    • Putain, ils sont drôlement fermes !
    
    Comme je ne réagis toujours pas, Majid en profite pour prendre ma main et la poser entre ses cuisses, je sens sous le jean un objet long et dur, ma paume s’appesantit dessus, ça lui plaît bien, il passe une main dans le décolleté de ma robe et s'empare de mon sein droit qu’il masse doucement.
    
    Il agace mon téton entre ses doigts et commente pour Mouloud :
    
    • Splendide, sa peau est douce comme du satin, je n'en n'ai jamais mais vu d'aussi beaux.
    
    Soudain, il ouvre sa braguette en entier et en sort un membre de belle taille, assez fine mais d’une bonne longueur.
    
    • Prend-la dans ta main! Ordonne-t-il, tout en me caressant les seins.
    
    Je lui obéis et la prend en mains. Elle est dure comme du granit. Je ne peux s’empêcher de la serrer d’avantage, sentant au creux de ma main battre le désir de l’homme. Philippe n’en perd pas une miette. Mon mari candauliste est ravi de la tournure des événements.
    
    Majid se penche sur moi et commence à glisser ses doigts sur mon corps livré à sa concupiscence. Il triture mes seins puis glisse une main vers ma chatte, appuyant sa caresse. Il baisse son pantalon en vitesse, et me met sous le nez la totalité de sa longue queue sombre, veinée, dure, d’une bonne vingtaine de centimètres.
    
    • Mouloud, elle mouille déjà ! Suce eahirat alfaransiat ...
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