Julie et Katia ( Chapitre 10 ) - Histoires de Sexe

Julie et Katia ( Chapitre 10 )

... prêtes , il y a une porte cachée au fond du même placard menant à la salle de jeux , votre salle de jeux . A toute suite les amies .

Julie et Katia restèrent circonspectes , n’osant pas commenter ce qu’elles venaient d’entendre de peur d’être entendues elles-mêmes . Julie fit glisser la partie coulissante du placard , et , effectivement , étaient pendues sur deux cintres deux tenues strictement identiques . Katia sortit un cintre et fit l’inventaire : une guêpière rouge , un string assorti , une paire de bas nylon et sur la moquette une paire d’escarpins noirs . Julie ayant attrapé l’autre cintre avait la même panoplie dans les mains .

Silencieusement , elles s’apprêtèrent avec soin , mettant dans un premier temps leur guêpière , puis les bas qu’elles tendirent au maximum sur leurs cuisses avec les jarretelles , enfilèrent les strings puis glissèrent leurs pieds dans les escarpins . Comment avait-il fait pour connaître leurs tailles et surtout leurs pointures ? Surtout que les deux filles n’avaient pas la même .

Une fois vêtues , elles se regardèrent dans le miroir et constatèrent que seules leurs couleurs de cheveux les différenciaient . On aurait dit deux jumelles tant elles ...

... se ressemblaient dans leurs tenues identiques . Elles furent légèrement troublées , Katia voulut faire un commentaire , la voix surgit à nouveau du haut-parleur :

“ A- Je pense que vous devez être prêtes Mesdemoiselles , vous me faites languir . Entrez dans le placard et poussez la porte . “

Sagement , pressées de rencontrer cet inconnu capable de lâcher trois milles euros pour leur compagnie d’une soirée , elles entrèrent dans le placard , et ; curieuses elles poussèrent la porte .

Elles débouchèrent dans une immense pièce dont un côté était parsemé de miroirs , dans lesquels se reflétaient le mobilier . Au centre de la pièce se tenait un immense lit dans lequel on pouvait dormir à quatre sans se serrer . Il y avait aussi un grand canapé d’angle , des poufs , des petits fauteuils et des coussins à même le sol , recouvert d’une épaisse moquette qui étouffa le son des escarpins quand elles firent irruption dans la pièce . C’était classe , chic, décoré avec goût ; l’ambiance tamisée et chaleureuse pouvait donner des pulsions à n’importe qui .

Un seul élément les empêchait de se projeter dans le jeu et le plaisir .

A part elles , il n’y avait personne d’autre dans la pièce …..