1. Les bienfaits du sport !


    Datte: 17/02/2021, Catégories: fh, fplusag, noculotte, intermast, Oral 69, fsodo, extraconj, Auteur: Propilot, Source: Revebebe

    ... serrâmes très fort l’un contre l’autre pendant que mes mains découvraient ses formes. Je la couvris de baisers. J’avais envie d’elle.
    
    En me reculant un peu, je lui pris les épaules et je lui dis :
    
    — Vous êtes magnifique. Vous êtes pour moi l’icône de la femme.
    — Ce n’est pas ce que dit mon bonhomme ! Il me trouve trop grosse. Il dit que je devrais perdre au moins dix kilos.
    — Pardonnez ma franchise, mais je persiste : quel con !
    
    Mon émotion physiologique étant quelque peu retombée, je dirigeai ma partenaire vers le canapé.
    
    — Venez ! On sera plus confortablement installés sur le canapé.
    — Non ! Non ! Je vais être en retard à l’école.
    — Tssttt ! C’est pas le tout d’aguicher le client ! Il faut assumer jusqu’au bout ! Je n’ai encore rien fait ! Et je m’en voudrais de vous laisser partir avec la faim au ventre !
    
    Je n’eus pas à beaucoup insister pour qu’elle accepta ma proposition. Elle avait faim, c’était évident !
    
    Une fois allongée, elle ouvrit les jambes, pour s’offrir à moi. Elle me souriait et ses yeux brillaient du désir qu’elle avait qu’on s’occupe un peu d’elle.
    
    Je découvris une toison rousse très fournie qui masquait en partie les lèvres gonflées et rougies par l’envie, même si sa grotte de plaisir était déjà béante d’excitation.
    
    Il faut rappeler qu’à cette période, les femmes ne s’épilaient que les jambes. Elles tiraient une certaine dignité à présenter aux hommes une large toison épaisse et touffue. C’étaient selon les règles de la mode du ...
    ... moment, le summum de la féminité.
    
    Son bouton d’amour était en pleine érection. Il se dressait tel un phallus. Je ne pensais pas qu’il puisse être possible pour une femme d’avoir un clitoris aussi proéminent. On aurait dit le sexe d’un nouveau né.
    
    Ses lèvres ruisselaient d’un liquide blanchâtre et chaud, très odorant. C’était pour moi la première fois que je voyais ainsi une femme exhiber fièrement son envie.
    
    Je posai mes lèvres sur son clitoris turgescent. Je le suçai délicatement tout en lui assenant des petits coups de langue qui, chaque fois, faisait tressauter la belle femelle dont je pétrissais les seins durcis par le désir. J’étais en train de faire ni plus ni moins qu’une fellation à cette femme qui semblait découvrir une pratique qu’elle n’avait jusqu’à présent jamais eu le bonheur d’expérimenter.
    
    Ma langue explorait les moindres recoins de son intimité. J’aspirais ses lèvres et je buvais son liquide d’amour. Elle sentait bon la femme offerte, prête à subir les assauts du jeune mâle que j’étais, mâle pour le moins en rut qui reprenait lentement de la vigueur.
    
    Pendant que ma langue voyageait sur toute la longueur de sa fente échancrée, sachant que la nature a horreur du vide, j’insérai mes doigts dans ce trou qui attendait qu’on le remplisse. À l’intérieur, je sentais le volume de la cavité augmenter à chaque mouvement de mes doigts. Ma main était trempée par la jouissance de ma partenaire. Elle criait en silence. Les yeux fermés, les mains me retenant la ...